Chez moi, à CHAMPAGNY LE HAUT, en Tarentaise, en Savoie Souveraine

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mercredi 19 juin 2013

SAVOIE, SOUVERAIN, NOUVELLE-CALEDONIE, WALLIS ET FUTUNA




Droit civil applicable en Nouvelle-Calédonie et dans les îles Wallis et Futuna

19/06/2013

La garde des sceaux, ministre de la justice, a présenté une ordonnance portant actualisation du droit civil applicable en Nouvelle-Calédonie et dans les îles Wallis et Futuna.

Cette ordonnance tire les conséquences de l’évolution, initiée depuis l’accord de Nouméa du 5 mai 1998, qui permet à la Nouvelle-Calédonie d’acquérir de manière progressive et irréversible les compétences d’un État souverain.

En vertu de la loi organique du 19 mars 1999 relative à la Nouvelle-Calédonie, un certain nombre de compétences parmi lesquelles figurent « le droit civil, les règles concernant l’état civil et le droit commercial » seront transférées à ce territoire dans les conditions fixées par une loi de pays.

L’ordonnance procède ainsi aux adaptations et extensions nécessaires à ce transfert, prévu le 1er juillet prochain. Elle étend et actualise diverses dispositions du code civil, du code de la construction et de l’habitation ou encore du droit de la copropriété (par exemple, distances de plantation, publicité foncière, vente d’immeubles à construire).
 

mercredi 12 juin 2013

SAVOIE, NICE, ONU, SOUVERAINETE, LIBERTE, YVES NICOLIN, TRAITE DE VERSAILLES, TRAITE DE TURIN, TRAITE DE PARIS, LAURENT FABIUS





L'Etat de SAVOIE communique la question numéro 3, posée par
le député YVES NICOLIN au Gouvernement d'occupation français en SAVOIE:

14ème législature

Question N° : 29249 de M. Yves Nicolin ( Union pour un Mouvement Populaire - Loire ) Question écrite
Ministère interrogé > Affaires étrangères Ministère attributaire > Affaires étrangères
Rubrique > traités et conventions Tête d'analyse > traité de Paris du 10 février 1947 Analyse > mise en oeuvre. traité de Turin de 1860



Texte de la question

M. Yves Nicolin alerte M. le ministre des affaires étrangères et s'inquiète de ce que les réponses gouvernementales officielles fournies à ses deux précédentes questions écrites posées en 2010 et 2012 (n° 76121 et n° 10106) semblent en réalité parfaitement révélatrices d'une situation contentieuse au plan juridique et diplomatique pour la France.
 À deux reprises consécutives, le ministère des affaires étrangères n'a pu malheureusement fournir la preuve du respect strict par notre pays de l'article 44 du traité de Paris du 10 février 1947. Or ce traité multilatéral est incontournable. La France a déjà été condamnée le 7 juin 1932 par la Cour internationale de justice pour violation d'un traité similaire: Dans cette affaire dite « des zones franches » la CIJ avait sanctionné une violation de l'article 435 du traité de Versailles de 1919 et tenu à rappeler expressément que « la souveraineté de la France sur ces territoires (existe) [...] pour autant qu'elle n'est pas limitée par ses obligations internationales » (page 74 de la décision). 
 C'est pourquoi ont été sollicitées du Gouvernement des réponses claires et précises sur le respect ou non des dispositions claires strictes et très formelles de l'article 44 du traité de Paris du 10 février 1947. Il est spécialement regrettable dans ces conditions, que le quai d'Orsay, auquel avait été rappelée l'existence de ce précédent fâcheux pour la France et relatif au statut singulier de la Savoie et de Nice (territoires rattachés à la France au moyen d'un traité territorial d'annexion signé à Turin le 24 mars 1860), n'ait pas veillé à respecter scrupuleusement l'article 44 d'un traité interallié et multilatéral signé à Paris par les 21 puissances victorieuses et fondatrices de l'ONU.
 Il est avéré aujourd'hui que la France n'a pas procédé à la notification diplomatique écrite exigée par cet article 44 du 10 février 1947, se contentant d'une « note verbale » non signée, certes doublée d'une publication au Journal officiel de la République française du 14 novembre 1948, mais en l'occurrence inopérante au plan diplomatique et comportant en outre des erreurs de dates fort curieuses. Il est surtout désormais établi, par la réponse officielle à la question n° 10106 du 13 novembre 2012, qu'en plus de cette notification diplomatique formelle faisant anormalement défaut (violation flagrante de l'article 44, paragraphe 1er), la France n'est plus en mesure d'enregistrer le traité de Turin du 24 mars 1860 en violation non pas seulement de l'obligation générale de l'article 102 de la charte de l'ONU, mais plus gravement et spécifiquement de l'article 44, paragraphe 2, du traité de paix multilatéral et interallié du 10 février 1947, en l'absence de notification valable et du fait du caractère prohibé de tout traité d'annexion.
 Il est spécialement regrettable que, depuis 2010, date à laquelle l'alerte concernant cette situation exceptionnelle fut lancée, M. Kouchner et M. Fabius, les deux ministres officiellement en charge de ce dossier, en aient manifestement négligé la portée et l'importance au plan géostratégique, politique, économique et historique pour la France. Il suffira de relever sur ce point qu'aucune des deux réponses gouvernementales aux questions n° 76121, le 15 juin 2010, et n° 10106, le 8 janvier 2013, n'a, de manière révélatrice, souhaité répondre scrupuleusement et expressément aux conséquences spécifiques pouvant résulter de l'article 44, paragraphe 3, du traité de Paris du 10 février 1947.
 Il l'interroge de nouveau sur le risque de reconnaissance d'une situation délicate car préjudiciable aux intérêts fondamentaux de la République française, par plusieurs États étrangers ainsi que, désormais, sur d'autres risques imminents suivants : saisine de la Cour internationale de justice de La Haye d'une question préjudicielle dans le cadre de n'importe quelle procédure judiciaire initiée à titre individuel par un ou plusieurs justiciables, ou pire par tout autre État membre de l'ONU ; saisine du haut-commissariat des droits de l'Homme à l'ONU sur le fondement de sa procédure n° 1503 désormais ouverte aux individus ; saisine du conseil des tutelles de l'ONU dans le cadre des articles 73 et suivants.

mardi 4 juin 2013

CORSE, SAVOIE, FLNC, SOUVERAINETE, COLONIALISME, SAVOIE INDEPENDANTE, FRANC-MACON,



Corse: le FLNC se dit prêt à reprendre les armes

Le Front de libération nationale de la Corse menace de reprendre les armes dans un communiqué. "Nous ne nous laisserons jamais impressionner par les menaces", répond Manuel Valls, en visite sur l'île. 

Corse: le FLNC se dit prêt à reprendre les armes



"Nous reprendrons les armes pour que la France reconnaisse nos droits nationaux". C'est ce qu'a annoncé ce mardi Le Front de libération nationale de la Corse (FLNC) dans un communiqué. L'organisation en dénonçant "l'attitude ultra jacobine de la France" au moment même où Manuel Valls est en visite sur l'île.  

"Soit l'Etat français prend la mesure de l'effet désastreux de sa gestion de la Corse depuis deux siècles et demi et il en tire toutes les conséquences, soit il poursuit son rôle actif dans la destruction de notre peuple", écrit, en français, cette organisation clandestine dans un communiqué reçu par la radio France Bleu RCFM et dont l'AFP a eu une copie. 

"Dans ce cas, comme aux premiers jours de la Lutte de Libération nationale, nous reprendrons les armes pour que la France reconnaisse nos droits nationaux", poursuit-elle, en dénonçant "l'attitude ultra jacobine de la France". 

 A l'origine de ce texte de six pages se trouverait une branche dissidente du FLNC créée en juillet, et qui porte ce même nom de FLNC, selon une source policière, qui évoque des similitudes sur la forme et la signature. Ce groupe n'a jusqu'ici jamais revendiqué d'acte de violence. 

"Il a été reproché à la lutte clandestine de peser de manière négative sur la société corse. D'en freiner une évolution sereine", dit le communiqué.
"Si depuis quelques années les actions militaires ont diminué, quels en sont les résultats? Plus de démocratie participative? Moins de violence dans la société corse? Moins d'exclusion? Des effets du libéralisme atténués par une société plus solidaire? Poser ces questions c'est déjà y répondre". 

SAVOIE, CORSE, même lutte contre l'oppresseur colonialiste-maçonnique français.

En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/societe/corse-le-flnc-se-dit-pret-a-reprendre-les-armes_1254584.html?xtor=EPR-583-[XPR_Alerte_Info_Actif]-20130604--4926388@246600717-20130604133924#4C450yJ8tsMPfdIB.99