Chez moi, à CHAMPAGNY LE HAUT, en Tarentaise, en Savoie Souveraine

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vendredi 30 octobre 2015

SAVOIE, VIE, MONTAGNE, SAVOIE INDEPENDANTE, FREDERIC BERGER








                       PAGE DE LA VIE



Feuilletons ensemble, ski vous plait les pages de la vie.

Cliquez sur le lien suivant, tout doux:

      Page de la vie.pps

Arvi

mercredi 21 octobre 2015

NATHALIE, PIANO, VIOLON, TROTTOIR, RUE, SDF, ARTISTE, MELBOURNE, AUSTRALIE

Tout le monde ignorait cette vieille Dame. Voyez ce qui se passe quand elle commence à jouer. EXTRAORDINAIRE!

 

joue du piano dans la rue

Cette femme se prénomme Natalie et est elle à l’aube de ses 80 ans. Elle a pour habitude de s’installer avec son piano électrique près de la rue sur un trottoir et jouer de son instrument préféré. Pour ainsi recueillir quelques sous qui la fera vivre pour le reste de la semaine. Au premier regard il est difficile de croire qu’elle pourrait bien jouer, car ses doigts, tellement croches, semblent cacher de l’arthrite inflammatoire….

Elle s’installe donc avec son piano et les passants semblent totalement l’ignoré jusqu’au moment où elle pose ses doigts vieux et meurtris sur le clavier. Filmée par son fils elle offre toute une performance elle est vraiment incroyable. C’est à peine imaginable que cette personne de 80 ans avec de l’arthrite puisse jouer de la sorte.

Je vous invite donc à écouter sa performance digne d’un grand concert. Les artistes de la rue sont aussi bons et même meilleurs que ceux qui font des millions de dollars par année..car ils sont jérusalistes-maçonniques-sataniques, selon leur bible le TAMUD!

Entendez et priez:



 Patriotti Frédéric BERGER

SAVOIE, EDF, FRANCE, TAXE, IMPÔT, SIONISTE, JERUSALISTE, TVA, CGT, MIGRANT, BANANE, CRIF, LICRA


       ÉLECTRICITÉ DE FRANCE


 A lire en TOTALITÉ, sans coupure de courant.

Savoisiennes, Savoisiens, voici une des raisons
supplémentaires de quitter la FRANCE.
C'est la noble tâche de Savoie Indépendante.
montagnardes, Montagnards arrêtez de vous faire plumer et voler par les escrocs colonisateurs français.
Quand comprendrez-vous?
Quand il n'y aura plus de sang dans vos veines
pompées par la Franceraël, au profit des banksters de Rothschild, du Crédit pas Mutuel, des zélus jérusalistes aussi bien députés que sénateurs, que maires, ministres sinistres?

        Cliquez avec vos skis sur l'hollandouille:



C’est fascinant, une facture EDF : belle comme une page de Verlaine, elle contient presque autant de lignes qu’un sonnet de Ronsard.
À la base, le gros monopole d’État vend des kilowatts/heure et le client, tous les deux mois, paye ce qu’il a consommé.
Exactement comme chez le boucher : je choisis une escalope, il la pèse, je paye le prix affiché et je repars avec une « facture » – en réalité un ticket – qui ne comporte qu’une seule ligne.

Alors, pourquoi la facture EDF est-elle si copieuse ?

On y trouve le prix du kilowatt/heure – 9,09 euros pour 100 kWh -, qui passera à 9,32 euros après l’augmentation estivale de 2,5 %.
Jusque-là, rien que de très normal. Les gâteries viennent immédiatement après.

D’abord, EDF facture un abonnement ! On se demande bien pourquoi !
Lorsque j’achète une escalope, je ne suis abonné à rien : j’ai, en face de moi, un commerçant qui vend ce dont j’ai besoin, nous faisons affaire et c’est tout. Non !

Avec EDF, même monopole, faut s’abonner. Et ce n’est pas négligeable :
11,6 euros par mois, soit 140 euros par an. Depuis août 2011, l’abonnement a augmenté de 22 %.

Puis viennent les taxes ! Ah ! Les taxes… oh, pardon, une seule taxe et deux « contributions ».
La contribution, c’est plus sympa, ça fait plus « social » ; pour un peu, on serait heureux de s’en acquitter, alors que la « taxe », beurk !

Cela commence par la TCFE, la taxe sur la consommation finale d’électricité.

C’est quoi, la consommation finale ? Y a-t-il une consommation initiale ?
Personne ne sait pourquoi cette taxe existe, même pas EDF, qui se borne à dire que ce prélèvement est reversé aux collectivités territoriales et à l’État (qui détient pourtant 84,5 % du capital du mastodonte). Depuis août 2011, elle a augmenté de 16 %, soit 4 % par an.

Arrive ensuite la merveilleuse CSPE, la contribution au service public d’électricité.

Moi qui croyais ingénument que je contribuais à ce service en me contentant d’acheter du courant électrique !

Eh bien, non ! En fait, cette CSPE sert, entre autres, à compenser le coût exorbitant auquel EDF s’est engagé à acheter l’électricité des petits malins qui se sont équipés de bidules photovoltaïques ou éoliens.
En août 2011, elle était de 9 % du coût de la consommation ; elle en pèse aujourd’hui 21,5%. À ce rythme, elle représentera la moitié de notre facture dans trois ans.

On est parti joyeusement sur la belle voie rectiligne tracée par les taxes sur les carburants.

Puis vient enfin, toute menue, toute discrète, la CTAE, contribution tarifaire d’acheminement électrique car, contrairement au boucher vendeur d’escalope, EDF vous apporte votre achat à domicile contre la modeste somme de cinquante euros par an.

C’est alors que surgit la TVA.
Sur la consommation, au prix fort de 20 % : là aussi, c’est courant !
Mais également sur les taxes ! Chez EDF, les taxes sont taxées !
À 20 % (CSPE, TFCE) ou à 5,5 % (CTAE) !

Impigeable, mais poétique, vous dis-je…

Y.C
Le meilleur pour la fin: EDF prélève un pourcentage de tout ceci, je crois 1% pour son CE (comité d’entreprise)c’est à dire uniquement pour la CGT et le parti communiste.
 Je me suis permis de retraduire les initiales de votre syndicat (CGT = Christ, Gloire à Toi).
 La vie n’est elle pas belle pour certains ?

Mais nous sommes dans une Ripoux-blique bananière inégalitaire
sauf pour les jérusalistes qui ont tous les postes, puisque la France est à eux!
Preuve: ce livre écrit par un vrai juif:
Cliquez sur le lien suivant:
 anous la france.pdf


Frédéric BERGER von Goëtz von Berlischingen
                                        

mardi 20 octobre 2015

MARECHAL PETAIN, GENERAL DE GAULLE, SAVOIE, NADINE MORANO, ADOLF HITLER, FRANCE, LONDRES





   
                   DE GAULLE en SAVOIE


Entendez ce discours très rare du Général de Gaulle et remplacez le mot  "France" par le nom "SAVOIE".
Le discours de mon Général est donc d'actualité!


Et cliquez sur le texte, merci Nadine Morano!



 Entendez ce discours de "Mon Général", en réalité "Colonel"!

 Skiez sur le lien ci-dessous, merci.

 Charles De Gaulle - Réponse au Maréchal Pétain - 26 Juin 1940 - BBC Londres.wma

et suite à censure, essayez le lien suivant:

cliquez sur télécharger urgent merci et cela fonctionne, patience et force! 





​Pacé è Saluté 

Vive la SAVOIE

TOT DRET

Frédéric BERGER, président de Savoie Indépendante

dimanche 11 octobre 2015

SAVOIE, FRANCE, RADAR, POUBELLE, BOURVILSIVOM, PV, EINSTEIN



                                                  RADAR
                                 OU
                              E=MC²


  Le chef de la Brigade de Savoie vous rappelle sa lutte contre l'occupant français, notamment
avec le racket du système pourri des radars.

Précision importante:

                            Si vous vous faites flasher par un de ces appareils, contestez le PV immédiatement avec l'argumentation suivante:

En effet un radar ne calcule pas une vitesse, mais une poussée, une accélération, selon la formule d'Albert Einstein!
 L'équation E = mc2 (lire « E égale m c carré » ou « E égale m c deux ») a été exprimée en 1905 par Albert Einstein dans le cadre de la relativité restreinte. Elle signifie qu'une particule de masse m isolée et au repos dans un référentiel possède, du fait de cette masse, une énergie E appelée énergie de masse, de valeur donnée par le produit de m par le carré de la vitesse de la lumière.

La vitesse vous l'avez appris à la petite école communale est donnée par la formule enfantine:
                                                 distance
                                            V = --------
                                                    temps
Où est indiquée la distance et le temps parcouru par votre radar français colonisateur fiscal de merde?

Le radar ne calcule qu'une poussée ou une accélération, selon la formule d'Einstein, mais pas
une vitesse!

Rappel des actions en images, cliquez dessus:

                                              


Et maintenant que fait le parti politique SAVOIE INDÉPENDANTE?

Les Savoisiennes et les Savoisiens payent un racket à la France par le triche-ment des impôts.
Dans ce racket fiscal il y a soit disant des services régaliens et autres, tel l'enlèvement des ordures ménagères qui incombent à l'occupant puisque vous le payer par vos impôts.

Mais cet occupant vous vole deux fois, en instaurant une taxe d'enlèvement des ordures ménagères par l'intermédiaire de l'intercommunalité.
Cette entité intercommunale n'a aucun pouvoir légitime puisque vous n'avez pas voté pour elle, donc vous êtes volé 2 fois avec vos poubelles, nourries volontairement par la France avec l'emballage de l'emballage.

Cela donne du travail artificiel à l'intercommunalité qui en réalité paye avec votre argent les nanas poupées gonflables des zélus!


Donc à Savoie Indépendante nous vous proposons de vous servir de vos poubelles d'une autre manière ainsi que des radars, qui sont des séchoirs magnifiques; lavez régulièrement vos poubelles et faites les sécher à la manière SAVOIE INDÉPENDANTE.

Cliquez sur l'image:  
                            

                           
       










la tactique du gendarme-bourvil by davmurigny  Frédéric Berger, président de SAVOIE INDÉPENDANTE
ARVI                                         

mardi 6 octobre 2015

SAVOIE, PAPE LEON XIII, VICTOR EMMANUEL, FRANC-MACON, SATAN




Le Pape LÉON XIII a révélé que la Franc-maçonnerie est du Satanisme


leo-xiiiA gauche, Léon XIII (Pape de 1878 à 1903)
Jusqu’à ce que les Francs-maçons s’emparent de la papauté, beaucoup de Papes Catholiques ont condamné le culte, le qualifiant de menace mortelle.
En 1902, le Pape Léon XIII a déclaré que le but de la franc-maçonnerie est : « d’exercer une seigneurie occulte sur la société ; (sa) seule raison d’être étant de mener une guerre contre Dieu et son Église. »

L’histoire moderne et le Nouvel Ordre Mondial sont le produit de la propagande et des subterfuges maçonniques.
Obama, les Bush, et les Clinton sont tous francs-maçons.
Le Communisme, le Socialisme, le Sionisme sont tous des branches de la Franc-maçonnerie.
S’adressant à l’Église le 20 avril 1884, le Pape Léon XIII publia une magnifique encyclique : « Humanum Genus ».
Reprenant l’analogie de Saint Augustin à propos des deux cités sur la terre qui constituent le Royaume de Dieu et le Royaume de Satan, le Pontife passe en revue les progrès de la Franc-maçonnerie et écrit :
« Il est à présent de notoriété publique que les francs-maçons ont l’intention de ruiner la Sainte Église, ainsi que de déposséder, si possible, toutes les nations Chrétiennes de tous les dons accordés par Notre Sauveur Jésus Christ. »
« Ainsi, en l’espace d’un siècle et demi, la secte des francs-maçons a accompli d’incroyables progrès. Par la ruse et l’audace, la maçonnerie a envahi tous les rangs de la hiérarchie sociale, et a commencé de s’emparer du pouvoir au sein des États modernes, ce qui est presque l’équivalent de la souveraineté. »
Léon XIII fait fréquemment référence à l’hypocrisie qui est à la base de la « Franc-maçonnerie Blanche » et mentionne ses objectifs révolutionnaires qui la transforment en « Franc-maçonnerie Rouge ».
Cette encyclique révèle de manière frappante le triple caractère de la Franc-maçonnerie :

  • Amorale
  • Antiétatique
  • Contre-église

obamamason1(Obama et la plupart des membres des élites politiques sont des francs-maçons, appartenant à une des nombreuses branches des Illuminati)

  1. Amorale

« Ses buts consistent en la complète destruction des fondations de la justice et de l’honnêteté. De cette manière, les francs-maçons se font les auxiliaires de ceux qui souhaitent que l’homme, tel un animal, n’ait pas d’autre règle de conduite que ses propres désirs – Un tel schéma ne peut que déshonorer l’humanité et la conduire ignominieusement à sa propre perdition. »
« Ceci posé, ils n’ont aucun égard pour les devoirs à rendre à Dieu, ou les pervertissent par des opinions erronées ou vagues. Car ils nient que quoi que ce soit ait été dit et transmis par Dieu ; ils ne reconnaissent aucun dogme, religion, ou vérité incompris par l’intelligence humaine, ni aucun enseignement devant être cru en raison de cette autorité. »

  1. Antiétatique

Le Pape LéHollande le maçonon XIII a prévu que la Franc-maçonnerie chercherait bientôt à former un Super État (c’est-à-dire un gouvernement mondial). Là où le dogme maçonnique de la séparation de l’Église et de l’État s’est imposé, les lois antireligieuses ont été promulguées, comme l’explique le frère Bethmont (un franc-maçon) :
« La violence contre l’Église ne mène nulle part, nous devons employer d’autres moyens. Nous devons organiser une forme de persécution qui doit être à la fois intelligente et légale ; nous devons cerner l’Église par un réseau de lois, de décrets et d’ordonnances qui l’entraveront sans verser une goutte de sang. »

Nous devons nous demander qui tisse ce filet serré de lois, de décret et d’ordonnances ? L’État bien sûr. Mais il s’agit d’un État maçonnique, un État irréligieux sous le pouvoir d’un Super État qui se trouve être à présent le dirigeant du monde.

C’est avec un sentiment de peur que nous devons nous rappeler de la sentence de mort prononcée contre l’humanité dans « Les Protocoles des Sages de Sion ».
« Lorsque nous avons introduit dans l’organisme de l’État le poison organique du Libéralisme, son entière structure politique a subi un changement. Les États ont été saisis d’une maladie mortelle : un empoisonnement du sang. Il ne reste plus qu’à attendre la fin de leur agonie. »
Ce Super État s’appelle la Judéo-maçonnerie.

hollande-chez-les-francmac

  1. La Contre-Église


handshale(Tony Blair palpe l’articulation de Benoît XVI)
Enfin, Léon XIII conclut en révélant le caractère satanique de la Judéo-maçonnerie :
« Les faits que nous avons évoqués jettent une lumière suffisante sur la constitution interne des Francs-maçons et montrent clairement la route qu’ils suivent afin d’atteindre le but. Leurs dogmes principaux sont si complètement et manifestement opposés au bon sens et à la saine raison qu’il est difficile d’imaginer une perversion plus profonde que la leur. En réalité, n’est-ce pas le sommet de la folie et de l’impiété la plus audacieuse de nourrir la présomption de détruire la religion et l’Église créer par Dieu lui-même, et qu’il a assuré de sa protection perpétuelle ? Pour remplacer ses 18 siècles par les coutumes et les institutions des païens ? »
« Il n’en est pas moins horrible et peu aisé d’être témoin de la répudiation des dons que, dans sa miséricorde, Jésus Christ a conféré d’abord aux individus, puis aux groupes humains sous la forme de famille et de nations. Même les ennemis de la Chrétienté reconnaissent la valeur suprême de ces dons.

« Il n’y a pas à nier que dans ce plan fou et criminel, il est aisé de reconnaître l’implacable haine et la soif de revanche qui anime Satan à l’égard de Jésus Christ. Nous refusons de nous plier aux diktats de maîtres si iniques accomplisseurs de la volonté Satan et de toutes les passions maléfiques. »

NOTE DU Président de Savoie Indépendante, Frédéric BERGER
Documents fournis par Frédéric BERGER
--La magnifique encyclique Humanus Genus à lire: cliquez sur le lien, merci
             Enciclica (1884) Leon Xiii - Humanum Genus (El Linaje Humano), Sobre La Masoneria Y Otras Sectas, (Español).pdf
--
--Voila l'édit de Victor Emmanuel qui est toujours en vigueur en SAVOIE, cliquez sur l'édit.



VIDÉO, cliquez sur le lien:  https://youtu.be/ebUwRvbai5M


Frédéric Berger







dimanche 4 octobre 2015

SAVOIE, SARDAIGNE,VICTOR EMMANUEL II, NAPOLEON III, CAMILLO BENSO COMTE DE CAVOUR, VERDI, ELINA GARANCA



                ALLIANCE FRANCO-SARDE

L'alliance franco-sarde est un pacte militaire signé par le Royaume de Sardaigne et l'Empire français le . Il confirme la substance et modifie les détails des accords de Plombières conclus par le Président du conseil Cavour et Napoléon III en juillet 1858.

L'alliance établit l'aide militaire de la France aux États sardes en cas d'agression autrichienne. En échange, elle prévoit la cession à la France de la Savoie et de Nice. Elle fixe les conditions de la deuxième guerre d'indépendance, et pour ne pas paraître comme une récompense française au mariage concédé par Victor-Emmanuel II au Prince Napoléon qui épouse sa fille, la date des documents diplomatiques est antidatée à décembre 1858.

De Plombières à l'alliance

Au cours des six mois qui s'écoulent entre le , jour de l'entretien à Plombières et le , le jour de la signature de l'alliance, le Royaume de Sardaigne et la France se dépensent pour obtenir le meilleur parti du traité. L'empereur Napoléon III a besoin de renverser l'équilibre établi en Europe par le Congrès de Vienne et Cavour de parachever la libération de la Lombardie-Vénétie. Les deux exigences nécessitent une guerre contre l'Empire d'Autriche.
Pour préparer l'alliance, Napoléon III, en septembre 1858, informe son cousin le prince Joseph Napoléon Bonaparte que des négociations ont eu lieu en juillet avec Cavour et il l'envoie à Varsovie pour rencontrer le Tsar de Russie Alexandre II.
Le Prince Napoléon est porteur à Varsovie de la proposition française d'une entente pour obtenir de Saint-Pétersbourg la surveillance de la Prusse afin d'éviter une attaque de cette dernière contre la France en cas de guerre en Italie. En retour, Paris s'engage à faire de même contre la puissance coloniale adverse de la Russie en Asie : le Royaume-Uni.
Au début d'octobre 1858, le prince Napoléon informe le représentant de Cavour, Costantino Nigra, du résultat de la mission à Varsovie qui, selon lui, est pleinement favorable. Au fil du temps, la Russie déçoit les attentes, le gouvernement de Saint-Pétersbourg exclut d'abord toutes hypothèses de guerre contre la Prusse, puis, à cause du refus français d'invalider les clauses anti-russes du Congrès de Paris, bien après la conclusion de l'alliance franco-sarde (3 mars 1859), elle ne promet à la France que sa neutralité bienveillante.

Les demandes françaises au Piémont


L’empereur Napoléon III, tableau de Franz Xaver Winterhalter de 1857.

Le ministre des Affaires étrangères français Walewski, ouvertement opposé à l'alliance.
Les accords de Plombières, sur certains points, même d'importances capitales comme la cession des territoires du Royaume de Sardaigne à la France, restent plutôt vagues.

Le , Costantino Nigra qui est chargé des négociations par Cavour, apprend des Français que l'offre de Plombières d'une Haute Italie placée sous la couronne de la Maison de Savoie est confirmée et en échange la France prétend au Comté de Savoie ainsi qu'à Nice. De plus, le roi de Sardaigne serait placé sous le commandement de Napoléon III pendant la campagne militaire et toutes les dépenses françaises seraient à la charge du Piémont. Cavour en est retourné. Pour aggraver la situation, dans les jours suivants, le gouvernement sarde reçoit le refus de Paris pour l'obtention d'un prêt, seules les protestations de Turin sur le rôle de Victor-Emmanuel II pendant la guerre sont entendues, Cavour obtenant « les plus satisfaisantes assurances. »

La position de la Grande-Bretagne

D'autres difficultés pour le Piémont se profilent à l'horizon, l'Empire britannique, adversaire de la Russie en Asie centrale, est favorable à l'Autriche qui s'oppose à la Russie dans la péninsule balkanique. Pour cette raison, l'hostilité de la reine Victoria à l'alliance franco-sarde, qui aurait inévitablement mis l'Autriche en difficulté, est claire et nette.
Le , la reine d'Angleterre, préoccupée par les desseins de l'empereur Napoléon III sur l'Italie, écrit à son ministre des Affaires étrangères, comte de Malmesbury : « Tout ce qui peut être fait pour détourner les pensées de l'Empereur pour un dessein similaire devrait être fait. Il ne veut pas penser à ce qu'il fait et il ne voit pas sinon ce qu'il désire ».
Le système bancaire britannique ne s'avère pas plus favorable, les banquiers refusent de financer le Piémont et révèle au prince consort Albert de Saxe, que Cavour est « Bankrupt and desperate » (« en banqueroute et désespéré »).

Les résistances des Français à Cavour

En France, une guerre pour l'Italie ne bénéficie pas d'une excessive popularité. Les aristocrates sont particulièrement hostiles : une aversion dédaigneuse transpire dans les cercles Bourbon, et l'hostilité du milieu orléaniste est plus agressif et combatif, tous préoccupés que Cavour reste à Rome. Le milieu financier est également défavorable, seuls les républicains, bien qu'adversaires de Napoléon III, ont de la sympathie pour la cause italienne.
Même parmi les hommes politiques, il existe une résistance importante : le ministre des Affaires étrangères français Walewski est informé par Napoléon III au début de décembre 1858 et en réponse il offre sa démission. Persuadé de la retirer, il fait tout pour éviter une guerre, dangereuse à son avis, à la France aussi bien pour le régime que pour le pays. Sur l'autre front, juste après Noël, Cavour réussit à surmonter les dernières résistances de Victor-Emmanuel II d'accorder la main de sa fille Marie-Clotilde au cousin de Napoléon III, le Prince Napoléon. Mariage fortement désiré par les Français qui en ont confirmé le souhait à Plombières.
Pendant ce temps, Napoléon III, le , écrit une longue lettre à Walewski afin de le persuader de la nécessité d'une alliance avec le Piémont et de la guerre avec l'Autriche. Dans la note, l'empereur affirme qu'après la victoire sur l'Autriche et avoir obtenu la Savoie et Nice, la France aurait un allié en Italie et sur le Rhin, la Belgique et la Suisse retournant dans sa sphère d'influence. Ainsi, avec ses ennemis historiques divisés, la France, libératrice et civilisatrice des peuples, pourrait obtenir ce qu'elle considère juste et abolir à jamais les traités de 1815.

La position de Victor-Emmanuel II


Victor-Emmanuel II, tableau de Tranquillo Cremona.
De son côté, Napoléon III prépare le terrain. À l'occasion de la réception du Nouvel An des délégations étrangères, l'empereur s'approche de l'ambassadeur d'Autriche et de façon inattendue et d'une voix sévère, il prononce les mots suivants : « Je regrette que nos relations ne soient plus aussi bonnes comme je désire qu'elles fussent, mais je vous prie d’écrire à Vienne que mes sentiments personnels pour l'Empereur sont toujours les mêmes. » Dans le langage diplomatique de l'époque, cela signifie vouloir ouvrir une crise politique. Ces mots ont un immense écho.

Malgré le secret de l'entretien de Plombières, des nouvelles sur les négociations pour une alliance et une guerre avec l'Autriche commencent à se répandre en Italie ce qui provoque une mobilisation de l'opinion publique sans précédent dès 1848. La preuve définitive que quelque chose bouge est un passage du « discours de la Couronne » de Victor-Emmanuel II au parlement piémontais, le . La phrase suggérée par Napoléon III est : « Nous ne pouvons pas rester insensibles aux cris de douleur qui viennent jusqu'à nous des nombreuses régions de l'Italie. », ceci pour dire que maintenant le Piémont assume le rôle de défenseur des Italiens opprimés et de promoteur de l'unité nationale.

Londres, cependant, n'en démord pas. Après le discours de Victor-Emmanuel II, le , le ministre des Affaires étrangères Malmesbury, transmet à son ambassadeur à Turin : « [...] Je vous invite à rappeler au Comte de Cavour la terrible responsabilité qui, sans être attaqué par un État étranger et sans que son honneur soit en jeu, mènera inévitablement vers, comme il le fait, une guerre européenne, mettant dans la bouche de son souverain des paroles de réconfort pour des sujets d'autres puissances, mécontents de leurs gouvernements. ».

Le traité d'Alliance

Les déclarations de Napoléon III et de Victor-Emmanuel II ne peuvent pas rester sans suite. À Paris, on pense d'abord à un traité d'amitié à rendre public avec certains articles secrets, puis on se décide à un seul pacte destiné à rester entièrement secret.

 Sauf pour Frédéric BERGER, président de Savoie Indépendante, hack!

. Le document diplomatique est divisé en trois parties : le traité d'alliance offensif et défensif, l'accord militaire et l'accord financier.

Le texte du Traité d'alliance


Carte anglaise du Royaume de Sardaigne de 1856.
[…]
  • Article 1. Dans le cas où suite à un acte agressif de l'Autriche la guerre venait à éclater entre le roi de Sardaigne et Sa Majesté l'Empereur d'Autriche, une Alliance Offensive et Défensive sera conclue entre Sa Majesté l'Empereur des Français et Sa Majesté le Roi de Sardaigne.
  • Article 2. Le but de l'alliance sera de libérer l'Italie de l'occupation autrichienne, pour satisfaire les voix des populations [...] constituant, si le résultat de la guerre le permet, un royaume de la Haute-Italie à onze millions d'habitants.
  • Article 3. Au nom du même principe, le Duché de Savoie et la province de Nice se réuniront à la France.
  • Article 4. […] il est stipulé expressément, dans l'intérêt de la religion catholique, que la souveraineté du Pape sera maintenue.
  • Article 5. Les dépenses de la guerre seront supportées par le Royaume de la Haute Italie.
  • Article 6. Les Hauts Partis contractants s'engagent à ne pas accepter aucune ouverture visant à ouvrir à la cessation des hostilités sans en avoir d'abord délibéré en commun.

Le texte de l'accord militaire

Dans le cas [...] il faudrait conclure entre les dites Majestés une Alliance Offensive et Défensive, l'accord militaire, dont les modalités figurent ci-après, sera annexé au traité d'alliance offensive et défensive.
  • Article 1. Les forces des alliés en Italie seront portées à 300 000 hommes : 200 000 français, 100 000 sardes. Une flotte dans l'Adriatique secondera les opérations de l'armée de terre.
  • Article 2. Les Provinces italiennes, occupées par les forces alliées, seront déclarées en état de siège. Les pouvoirs publics seront constitués par Sa majesté le Roi de Sardaigne et fonctionneront en son nom.
  • Article 3. […] le commandement en chef sera exercé par Sa Majesté l'Empereur des Français, et, en cas d'absence de l'Empereur, par celui qu'il aura désigné.
  • Article 4. L’incorporation des recrues et des volontaires de l'Armée Sarde sera fait de manière à ne pas présenter à l'ennemi des troupes instruites et bien disciplinées.
  • Article 5. [Sur approvisionnement en Italie des troupes françaises (magasins aménagés, réquisitions et acquisition locales)].
  • Article 6. [Sur Gênes, place de dépôt et d'approvisionnement des troupes françaises].
  • Article 7. [Sur l'estimation des réquisitions selon les formes de la comptabilité françaises et ses indemnisations].

Le texte de l'accord financier

Dans le cas [...] il faudrait conclure entre les dites Majestés une Alliance Offensive et Défensive, l'accord militaire, dont les modalités figurent ci-après, sera annexé au traité d'alliance offensive et défensive.
  • Article 1. Toutes les dépenses de guerre en Italie seront remboursées à la France par des annualités équivalent au dixième des revenus de toute nature payées dans le nouveau royaume de Haute Italie
  • Article 2. [Sur l'émission de bons de la part des autorités sardes pour payer les fournitures militaires françaises de l'armée sarde].
  • Article 3. [Sur la division en parts égales (française et sarde) du produit des impôts prélevés dans les provinces occupées].
  • Article 4. [Sur la commission mixte pour la liquidation des dettes de guerre].

La signature


Camillo Benso, comte de Cavour
Le , une copie du traité est signé par Napoléon III et son ministre des Affaires étrangères Walewski à Paris et entre le 28 janvier et le 29 par Victor-Emmanuel II et Cavour à Turin. Mais Napoléon III veut antidater les documents (au 12 et 16 décembre) avec l'intention de ne pas présenter l'alliance comme un événement trop proche du mariage de son cousin, le Prince Napoléon avec la fille de Victor-Emmanuel, Marie-Clotilde. L'union dynastique, dont les Bonaparte ont tant besoin, est célébrée le 30 janvier, et la proximité des dates aurait pu faire croire que l'accord du roi de Sardaigne faisait partie du prix payé par le Piémont pour l'alliance.

À l'issue de la signature des accords, Cavour subit une longue et mouvementée période au cours de laquelle le Premier ministre piémontais doit faire face à un comité parlementaire qui l'interroge secrètement sur les détails de l'alliance : Cavour nie que la Savoie et Nice furent l'objet l'objet de négociations.

Il subit de nouveaux avertissements de la Grande-Bretagne et la proposition russe d'un Congrès qui, pour éviter la guerre, aurait rendu vain tout le travail diplomatique du Piémont. Le rêve de l'unité nationale de Cavour dépend, paradoxalement, de Vienne, puisque l'article 1 du traité active l'alliance avec la France et la guerre que dans le cas d'un acte d'agression de l'Autriche. Le 23 avril l'Autriche délivre un ultimatum exigeant la démobilisation de l'armée sarde. Il est suivi du refus du Piémont et de l'ouverture des hostilités (le 26 avril) par l'Autriche, contre laquelle se rallie, honorant son l'alliance, la France : ainsi débute la deuxième guerre d'indépendance.

Frédéric Berger, président de Savoie Indépendante 

  à suivre: prochain article: il nous manque un Verdi en Savoie avec ELINA GARANCA

Entendez et comprenez la fille de la Lumière Elina GARANCA

http://dai.ly/x2upd0j 

OU




Verdi: Requiem - 'Kyrie' by BeulahAsher


REGARDEZ BIEN à 2 minutes 05"
et cliquez dessus: vous verrez le drapeau de notre pays aimé et sacré, la SAVOIE!




  CARTOGRAPHIE 

  Cliquez sur les documents:

 

vendredi 2 octobre 2015

AMEDEE VII, SAVOIE, NICE, COURS SALEYA, NISSART,


  





                 t'ê vè, NIZZA LA BELLA




Nice Cote d'Azur Marche aux Fleurs by FayeFranklin

Merci à Claire
Frédéric BERGER, président de Savoie Indépendante 
"Si j'avance, suivez-moi ; si je meurs, vengez-moi ; si je recule, tuez-moi !