Chez moi, à CHAMPAGNY LE HAUT, en Tarentaise, en Savoie Souveraine

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dimanche 23 mars 2014

VENISE, REPUBLIQUE DE VENISE, SAVOIE

     LE PRINTEMPS VÉNITIEN

22 mars 2014

République de Venise : le retour

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Hier soir a été proclamée sur la place du Seigneur, à Trévise, devant quelque 8.000 personnes, l’indépendance de la « République de Venise », suite à la proclamation des résultats du référendum organisé par Plebiscito. Référendum informel mais quelque peu impressionnant :
Votes valides : 2.360.235, soit 63,23% des personnes ayant le droit de vote en Vénétie.

Oui à l’indépendance : 2.102.969, soit 89,10%.

Les promoteurs de ce référendum n’entendent pas en rester là mais comptent aller jusqu’au bout, en soumettant un projet de référendum au conseil régional, qui sera ensuite soumis au Parlement. Si le référendum se fait, il « sera probablement déclaré anticonstitutionnel par le gouvernement, mais la région fera appel » jusqu'à ce qu'elle parvienne à ses fins.
Rappelons que la République de Venise fut indépendante jusqu’en 1797.

vendredi 14 mars 2014

RUSSIE, POUTINE; ALGERIE, CHERIF ABDEDAÏM, UKRAINE, CRIMEE, ECHO DES MONTAGNES, FREDERIC BERGER

       

Crise ukrainienne : La carotte ou le bâton



CHÉRIF ABDEDAÏM :
Après la tenue d’un référendum, la Crimée, en tant qu’Etat indépendant, adressera à la Fédération de Russie une demande d’adhésion au sein de la Russie en qualité de sujet fédéral », a expliqué le porte-parole.
La semaine dernière, le parlement de Crimée a voté en faveur de l’adhésion de la république au sein de la Fédération de Russie et décidé d’organiser un référendum sur ce sujet le 16 mars 2014. 
En dépit de cet état de fait,  le secrétaire d’Etat américain John Kerry a déclaré samedi dans une conversation téléphonique avec le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, que toute démarche favorisant le détachement de la Crimée du territoire ukrainien rendrait impossible un règlement diplomatique de la crise, écrit mardi le quotidien RBC Daily.
Washington a déjà laissé entendre qu’hormis les sanctions promises contre de hauts fonctionnaires russes, il comptait faire pression sur la Russie en renforçant la présence militaire de l’Otan aux frontières russes.
Le président américain Barack Obama s’est également entretenu par téléphone avec les dirigeants des pays baltes pour la première fois depuis le début de la crise en Ukraine.  « Le président a confirmé l’engagement des Etats-Unis pour la protection collective dans le cadre du traité de l’Atlantique Nord et son soutien à la sécurité et la démocratie de nos alliés baltes », a déclaré la Maison blanche. La projection dans les pays baltes de six chasseurs américains F-15 supplémentaires, appelés à renforcer la sécurité de l’espace aérien des alliés, devrait convaincre ces derniers du sérieux des promesses d’Obama.
Ce qui vient en partie renforcer  les ambitions des Etats baltes qui affichent depuis quelques jours la volonté d’augmenter leur budget de défense pour être mieux à même de faire face aux agissements de la Russie limitrophe. C’est le leitmotiv entendu à Tallinn, Riga et Vilnius, où les agissements russes en Ukraine inquiètent. Ces événements  « envoient un message clair à l’Estonie et à l’ensemble de la région : « nous devons faire plus dans le domaine de la défense. Des budgets suffisants sont rès importants pour notre sécurité », a souligné le président  Toomas Hendrik Ilves. En Lettonie, les dépenses de défense s’élevaient à 0,9% du PIB l’an dernier, en Lituanie à un peu moins de à,8%. Seule l’Estonie respecte l’objectif de 2% fixé aux membres de l’Otan. La hausse des dépenses sera progressive, a toutefois averti le ministre lituanien des Finances. La Lettonie, elle, a promis d’atteindre les 2% en 2020. AU désespoir  de l’Estonie qui craint que, vu du siège de l’Otan, elle soit rangée dans le même panier balte des membres qui ne tiennent pas leurs promesses.
La Pologne, pour sa part, allant jusqu’à parler du déplacement de troupes de l’Otan aux «frontières de l’Est ». Discours confirmé par le ministre polonais de la Défense, qui, à la question : «La Pologne cherche-t-elle à obtenir une déclaration sur la participation militaire de lʼOtan ?», a répondu avec un «il est trop tôt pour en parler». Un «pour en parler» lourd de sens. La «vieille Europe», essentiellement  lʼAllemagne et la France, sʼemployant à calmer le jeu, à rappeler quʼil faut garder ouvert un canal de discussions avec Moscou, bien sûr pour aider à trouver une solution à la crise, mais aussi en prévision des négociations à venir sur le traité START, sur les antimissiles… Les Britanniques restant, à lʼOtan comme ailleurs, étrangement silencieux. Il est vrai que leur premier souci semble être dʼéviter des sanctions économiques qui, par effet boomerang, pèseraient lourd sur la City où de très nombreuses entreprises russes sont cotées ! Et plus quʼun «canal de discussions» ouvert, ce sont les diplomates allemands – Angela Merkel jouant les premiers rôles –, français et américains qui tentent de convaincre Moscou de participer à un groupe de contact permettant dʼenfin «discuter» ou, plus précisément, faire dialoguer Russes et Ukrainiens.
Aussi, faut-il préciser que sur cet échiquier, l’absence d’unité de l’Occident concernant les sanctions diplomatiques et économiques à adopter contre la Russie pousse les Etats-Unis à renforcer la pression militaire sur cette dernière. Le sommet extraordinaire de l’UE, la semaine dernière, a montré que les puissances européennes n’y étaient pas prêtes. « Nous ne pouvons pas nous permettre une politique de sanctions à l’égard de la Russie car depuis que l’Allemagne a renoncé à l’énergie nucléaire nous sommes de plus en plus dépendants des fournitures de gaz russe. Les sanctions frapperaient comme un boomerang l’Allemagne et l’UE », a déclaré Hans-Werner Sinn, directeur de l’institut Ifo de Munich.
Face à cette « panique », et persuadé que le temps joue en sa faveur, Moscou  ne semble pas pressé. Pour Poutine, lʼUkraine, comme au temps de la Guerre froide, est le «pivot géopolitique du continent». La Crimée – bien au-delà de lʼhistoire –, cʼest la base navale donnant accès à la Méditerranée. Celle de Tartous en Syrie nʼaurait pas grand sens pour lui, sʼil nʼa pas les mains libres en Crimée… Y conforter sa présence, cʼest aussi dire aux Moldaves – et aux Allemands – que la Transnistrie est «intouchable».
Et il nʼa pas encore eu besoin de rappeler que la protection des minorités russophones fait partie de la doctrine militaire russe ! Mais il sait aussi que lʼUkraine est un «plus gros morceau» que lʼAbkhazie. Donc il souffle le chaud et le froid, multiplie les signes pour «ancrer» la Crimée à la Russie, faisant annoncer quʼun pont de plus de 4 kilomètres serait construit sur le détroit de Kertch, permettant dʼarrimer enfin la Crimée à la Russie. Se sert des erreurs majeures des Ukrainiens sur lʼinterdiction des «autres langues», même Ankara a protesté au nom des Tartares turcophones. Mais il sait aussi que ce qui fut possible à Budapest, à Prague ne lʼest plus. Envahir lʼUkraine ? Dans les chancelleries, personne ne croit que cette solution soit envisagée. Reste donc la négociation. Mais la marge est étroite entre une Crimée en quelque sorte affermée à Moscou ou vraiment rattachée.
Après la tenue d’un référendum, la Crimée, en tant qu’Etat indépendant, adressera à la Fédération de Russie une demande d’adhésion au sein de la Russie en qualité de sujet fédéral », a expliqué le porte-parole.
La semaine dernière, le parlement de Crimée a voté en faveur de l’adhésion de la république au sein de la Fédération de Russie et décidé d’organiser un référendum sur ce sujet le 16 mars 2014. 
En dépit de cet état de fait,  le secrétaire d’Etat américain John Kerry a déclaré samedi dans une conversation téléphonique avec le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, que toute démarche favorisant le détachement de la Crimée du territoire ukrainien rendrait impossible un règlement diplomatique de la crise, écrit mardi le quotidien RBC Daily.
Washington a déjà laissé entendre qu’hormis les sanctions promises contre de hauts fonctionnaires russes, il comptait faire pression sur la Russie en renforçant la présence militaire de l’Otan aux frontières russes.
Le président américain Barack Obama s’est également entretenu par téléphone avec les dirigeants des pays baltes pour la première fois depuis le début de la crise en Ukraine.  « Le président a confirmé l’engagement des Etats-Unis pour la protection collective dans le cadre du traité de l’Atlantique Nord et son soutien à la sécurité et la démocratie de nos alliés baltes », a déclaré la Maison blanche. La projection dans les pays baltes de six chasseurs américains F-15 supplémentaires, appelés à renforcer la sécurité de l’espace aérien des alliés, devrait convaincre ces derniers du sérieux des promesses d’Obama.
Ce  qui  vient  renforcer en partie les ambitions des Etats baltes qui affichent depuis quelques  jours  la volonté  d’augmenter  leur budget  de défense pour être mieux à même de faire face aux agissements de la Russie limitrophe. C’est le leitmotiv entendu à Tallinn, Riga et Vilnius, où  les agissements russes en Ukraine inquiètent. Ces événements «envoient  un message  clair à l’Estonie et à  l’ensemble de la région : nous devons faire plus dans le domaine de la défense. Des budgets suffisants sont très importants pour notre sécurité», a souligné le président Toomas Hendrik Ilves. En Lettonie, les dépenses de défense  s’élevaient à 0,9 % du PIB  l’an dernier, en  Lituanie à un peu moins de 0,8 %. Seule l’Estonie respecte l’objectif de 2 % fixé aux membres de l’Otan. La hausse des dépenses sera  progressive, a toutefois averti le  ministre lituanien des Finances. La Lettonie, elle,  a promis  d’atteindre les 2 % en 2020. Au  désespoir de l’Estonie qui craint que, vu  du  siège de l’Otan,  elle  soit rangée dans le même panier  balte des membres qui ne tiennent  pas leurs  promesses.
La Pologne, pour sa part, allant jusqu’à parler du déplacement de troupes de l’Otan aux «frontières de l’Est ». Discours confirmé par le ministre polonais de la Défense, qui, à la question : «La Pologne cherche-t-elle à obtenir une déclaration sur la participation militaire de lʼOtan ?», a répondu avec un «il est trop tôt pour en parler». Un «pour en parler» lourd de sens. La «vieille Europe», essentiellement  lʼAllemagne et la France, sʼemployant à calmer le jeu, à rappeler quʼil faut garder ouvert un canal de discussions avec Moscou, bien sûr pour aider à trouver une solution à la crise, mais aussi en prévision des négociations à venir sur le traité START, sur les antimissiles… Les Britanniques restant, à lʼOtan comme ailleurs, étrangement silencieux. Il est vrai que leur premier souci semble être dʼéviter des sanctions économiques qui, par effet boomerang, pèseraient lourd sur la City où de très nombreuses entreprises russes sont cotées ! Et plus quʼun «canal de discussions» ouvert, ce sont les diplomates allemands – Angela Merkel jouant les premiers rôles –, français et américains qui tentent de convaincre Moscou de participer à un groupe de contact permettant dʼenfin «discuter» ou, plus précisément, faire dialoguer Russes et Ukrainiens.
Aussi, faut-il préciser que sur cet échiquier, l’absence d’unité de l’Occident concernant les sanctions diplomatiques et économiques à adopter contre la Russie pousse les Etats-Unis à renforcer la pression militaire sur cette dernière. Le sommet extraordinaire de l’UE, la semaine dernière, a montré que les puissances européennes n’y étaient pas prêtes. « Nous ne pouvons pas nous permettre une politique de sanctions à l’égard de la Russie car depuis que l’Allemagne a renoncé à l’énergie nucléaire nous sommes de plus en plus dépendants des fournitures de gaz russe. Les sanctions frapperaient comme un boomerang l’Allemagne et l’UE », a déclaré Hans-Werner Sinn, directeur de l’institut Ifo de Munich.
Face à cette « panique », et persuadé que le temps joue en sa faveur, Moscou  ne semble pas pressé. Pour Poutine, lʼUkraine, comme au temps de la Guerre froide, est le «pivot géopolitique du continent». La Crimée – bien au-delà de lʼhistoire –, cʼest la base navale donnant accès à la Méditerranée. Celle de Tartous en Syrie nʼaurait pas grand sens pour lui, sʼil nʼa pas les mains libres en Crimée… Y conforter sa présence, cʼest aussi dire aux Moldaves – et aux Allemands – que la Transnistrie est «intouchable».
Et il nʼa pas encore eu besoin de rappeler que la protection des minorités russophones fait partie de la doctrine militaire russe ! Mais il sait aussi que lʼUkraine est un «plus gros morceau» que lʼAbkhazie. Donc il souffle le chaud et le froid, multiplie les signes pour «ancrer» la Crimée à la Russie, faisant annoncer quʼun pont de plus de 4 kilomètres serait construit sur le détroit de Kertch, permettant dʼarrimer enfin la Crimée à la Russie. Se sert des erreurs majeures des Ukrainiens sur lʼinterdiction des «autres langues», même Ankara a protesté au nom des Tartares turcophones. Mais il sait aussi que ce qui fut possible à Budapest, à Prague ne lʼest plus. Envahir lʼUkraine ? Dans les chancelleries, personne ne croit que cette solution soit envisagée. Reste donc la négociation. Mais la marge est étroite entre une Crimée en quelque sorte affermée à Moscou ou vraiment rattachée.
  source/ http://www.les7duquebec.com/

mercredi 12 mars 2014

BOURBONNAIS, VICHY, SAINT AMAND-MONTROND, MOULINS, FRANCOIS1ER





 

  Le coin du militant

Bien que le Bourbonnais ait mille ans d'existence et ait été le plus puissant duché de France au XVème siècle, l'histoire ne l'a pas épargné depuis. Aujourd'hui il fait partie des provinces les plus méconnues du grand public, et parfois même hélas d'une partie de ses habitants. En cause : la négligence de certains médias, par facilité ou par ignorance, et la complicité coupable d'une partie des élus et des acteurs économiques, qui n'hésitent pas à se comporter en véritable 5ème colonne auvergnate (ou berrichonne selon la région), au mépris des habitants, de leur culture et de l'histoire.
Réagissons contre les injustices de l'histoire : 
- 16ème siècle : confiscation abusive du Bourbonnais par François 1er après un procès inique
- Révolution française : démantèlement de la province, qui se retrouve divisée entre deux départements - l'Allier et le sud du Cher - (sans compter les pertes au profit des autres départements limitrophes)
- fin du 20ème siècle : rattachement de l'Allier à une région administrative portant le nom d'une autre province (l'Auvergne) et n'ayant pas la même culture
- depuis, les manoeuvres d'acculturation continuent : création du "Pays de Vichy Auvergne", du "Pays Berry Saint Amandois",  de la communauté de commune "Berry Charentonnais", et tout récemment de l'aberrante "métropole Clermont Vichy Auvergne"
Mobilisons-nous tous ensemble pour ne pas passer aux oubliettes de l'histoire, résistons à "l'auvergnatisation" (et à la "berrichonnisation") ! 
1) Pour commencer changeons le nom de la région "Auvergne" en "Auvergne-Bourbonnais", seul moyen de stopper rapidement l'assimilation culturelle en obtenant une visibilité officielle.
2) Demandons la réunification avec les Bourbonnais du Cher dont nous avons été séparés à la Révolution (et si possible avec ceux de la Nièvre, de la Creuse, du Puy de Dôme, de la Loire et de la Saône et Loire), et donnons le nom de Bourbonnais à ce nouveau département.
3) Ensuite demandons à être reconnus en tant que région française à part entière, (ou au besoin avec le Nivernais, le Berry, -voire la Marche-, dans une vraie région Centre).
En toutes occasions n'hésitez pas à défendre notre identité ! 
Nous c'est : les Ducs de Bourbon, le vin de St Pourçain, les cosmétiques et les pastilles de Vichy, le pâté aux pommes de terre et la pompe aux grattons, les boeufs charolais et l'âne bourbonnais, la forêt de Tronçais, l'opéra de Vichy, le prieuré de Souvigny, le château de Bourbon l'Archambault, le triptyque du Maître de Moulins, le Jacquemart,  la débredinoire de St Menoux, le chapeau à deux bonjours etc...
Nous n'avons rien à voir avec : les volcans, l'ASM, Vercingétorix, le bibendum, la truffade ni les vaches salers (pas  plus avec le palais Jacques Coeur, le vin de Sancerre ni l'âne grand noir du Berry).
NON NOUS NE SOMMES PAS AUVERGNATS !!! 
(ni Berrichons !)
VIVE LE BOURBONNAIS LIBRE ET REUNIFIE 
de Moulins à Montluçon et de Vichy à St Amand-Montrond !
Les Bourbonnais ne sont ni Auvergnats, ni Berrichons, ni Bourguignons, ils ont le droit d'être connus et reconnus pour eux-mêmes. L'origine des Bourbonnais remonte à 2000 ans, lorsque les Boïens (Celtes arrivés avec les Helvètes pendant la guerre des Gaules) se sont installés entre Loire et Allier en 58 av. J-C, puis se sont mélangés aux Eduens (mais aussi Arvernes, Bituriges et Romains) déjà présents. A cet ensemble original, à cette zone de rencontres, les Bourbons ont donné une unité politique et culturelle, de l'an mille à la Révolution, forgeant une conscience collective qui perdure jusqu'à maintenant et continue de différencier les Bourbonnais de leurs voisins.
Le Bourbonnais a été le plus puissant duché de France et a fourni au pays sa plus célèbre dynastie royale ; ses lointains descendants règnent encore en Espagne mais aussi au Luxembourg via les Bourbons-Parme, il n'a pas à rougir devant les autres provinces et devrait être aussi connu que les plus médiatiques d'entre elles. Hélas... Cela viendrait-il à l'idée d'un élu normand de vanter les charmes de la Bretagne, ou un Béarnais se revendiquerait-il comme Basque ? Non bien sûr, et pourtant c'est cela qui se passe chez nous tous les jours ! Certains (les "auvergnolâtres" et autres "berrydolâtres")  pensent que notre culture et notre identité ne sont pas dignes d'intérêt et qu'il vaut mieux se raccrocher à des provinces -soi-disant-  plus "porteuses". Alors pour contrer ce mouvement, cet ethnocide organisé,
SOYEZ FIERS D'ETRE BOURBONNAIS !