Chez moi, à CHAMPAGNY LE HAUT, en Tarentaise, en Savoie Souveraine

Chez moi, à CHAMPAGNY LE HAUT, en Tarentaise, en Savoie Souveraine

dimanche 27 mai 2012

ANDRE RIEU, VALSE, VIENNE, TEMPELHOF, BERLIN, SAVOIE,JOHANN STRAUSS, LONDRES,


                                          
Le ministère de la Culture, des Arts, Lettres et Musique de la SAVOIE
a l'honneur de vous faire entendre l’œuvre magistrale d'ANDRE RIEU  au TEMPELHOF!!!

Le mythique TEMPELHOF pour jouer ses plus belles œuvres,bravo ANDREAS!


Cliquez sur la photographie, incroyable:


                                                    


Je me permets d'être le porte-parole du ministère en publiant ce message, vrai et profond, d'un de
nos fidèles amis lecteurs et supporters,lors du dernier concert d'ANDRE RIEU en BRANDEBOURG!

"
Cher Ami
   Merci c'est bien ainsi qu'il faut apprécier la Vie et l'Amour les belles choses celles qui élèvent l'Ame . Donc Rieu comme Pavaroti et quelques autres sont des artistes qui ont permis ou permettent au commun des mortels, ceux qui ont une âme pure (sans coin obscur)  de comprendre que de telles musiques ne sont pas réservées aux culs pincés ou à une élite . C'est une véritable communion de cœur entre l'artiste et les spectateurs .

 L'ovation qu'on lui fait  c'est pour son talent et surtout par reconnaissance d'avoir réussi à nous transporter vers les merveilles de la Création . En effet l'Homme est l'apogée de la création divine: les capacités du cerveau humain sont incommensurables et infinies et le talent de ces artistes en est une preuve . Nous sommes tous des artistes car chacun avons des talents , puisque nous avons une conscience ; mais pour développer cette conscience (donc développer nos talents) il faut avoir évolué au milieu d'adultes qui ont compris et nous ont fait comprendre que l'Homme est composé d'un corps et d'une âme et que c'est bien l'âme qui doit transcender le corps et non l'inverse . C'est là le secret du bonheur et de la véritable liberté et surtout de la paix intérieure ;ce qui n'exclut pas de se révolter contre les injustices bien au contraire! Ceux que beaucoup de gens ne comprennent pas lorsque je me révolte ou me mets en colère , je suis très serein car ce n'est point l'expression  de la haine mais l'amour de la justice et de la vérité dont doit être épris tout chrétien et humaniste. 



J'ai retenu ce mot de Benoît XVI qui est tout à fait fondamental : Celui qui a rencontré Dieu ne peut être que quelqu'un qui a rencontré un autre qui a lui-même rencontré Dieu . Mais celui qui t'a "marqué" n'est pas certainementpas  celui qui l'a crié haut et fort , mais sont le plus souvent des gens humbles plein d'attention pour les autres qui sont parfois sont passés presque inaperçus . 
  Notre civilisation contemporaine fait justement un déni de cette conscience , nous faisant croire que la science expliquera tout .L'autre jour j'ai entendu sur France Inter un "érudit" qui disait que l'Homme était un animal avec une intelligence plus développée ; qu'elle aberration et dénégation de l'Homme!!!!
     Cet état d'esprit  provient de l'esprit Juif et jésuite . Nous sommes bien d'une religion judéo-chrétienne et ce mot judéo n'est pas innocent et même tout à fait incompatible avec l'esprit de l'Evangile où le Christ  est venu nous dire que son Père , notre créateur , est un Dieu d'Amour et non de crainte . Hélas à la fin du Moyen-Age et à la Renaissance, l'Eglise s'est laissée influer insidieusement par cet esprit judaïque évidemment développé et accentué par les Jèses. De part sa conscience l'homme est donc capable du meilleur et du pire ; en effet l'Homme est entâché du péché  originel et donc tiraillé entrele bien et le mal . Comme aucun homme n'est parfait nous fautons, pour les chrétiens nous "pèchons" . Or depuis pas mal de siècles maintenant on culpabilise le "pècheur" lui faisant craindre les foudres de Dieu, au lieu de l'aider à se relever et d'essayer de comprendre ensemble, pourquoi cela plombe notre âme .
   C'est ainsi que le Jèses ont dévoyé la confession et le rôle du confesseur , qui doit être guide sprituel et non un juge sentencieux. Ilsl'ont dévoyée en "RG" secrets pour pouvoir ainsi détourner insidieusement les âmes du Dieu miséricordieux
   L'Eglise catholique a défini les 7 péchés capitaux (pour mémoire orgueil, envie, avarice, luxure, paresse, gourmandise et colère celle basée sur la haine).  Il n'est pas difficile de comprendre que ces graves défauts tirent notre âme vers le bas nous rendant égoïstes associaux ... tirant ainsi notre Société vers le bas . Seulement l'Eglise (par jésuites interposés) s'est permise d'en faire des interdits purs et simples sans autres explications d'où la facilité des "philosophes modernes" de dire que tous ces interdits ne sont que des frustrations qui nous empêchent d'accéder au bonheur .  Voici en résumé l'idée générale développée :La vie est trop courte il faut profiter pleinement de tous les délices qu’elle nous offre.Laissez vous tenter, laissez vous aller et n'ayez pas peur d'assumer vos péchés...! (c'est ainsi que se développe la loi dela jungle c'est à dire la loi du plus fort!)
     Ne nous étonnons donc pas de notre déliquescence autant économique que morale . Cela est programmé est voulu par qui tu sais
   En ce Dimanche de Pentecôte , où comme le Christ l'avait annoncé à ses disciples, leur a envoyé ( juste après son Ascension ) la force de l'Esprit Saint. Il ne nous reste plus qu'à prier Dieu qu'il nous donne la force de son Esprit et surtout à nos dirigeants (politiques religieux philosophes juges .....) et au moins même s'ils ne sont pas croyants) qu'il leur donne un esprit sain tout simplement!!!!
       Suite à ton Amour pour les belles choses  de la Nature des œuvres musicales ou autres je te renvoie cette citation d'Einstein  qui doit te convernir à merveille
 
L'émotion la plus magnifique et la plus profonde que nous puissions éprouver est la sensation mystique. Là est le germe de toute science véritable. Celui à qui cette émotion est étrangère, qui ne sait plus être saisi d'admiration ni éperdu d'extase est un homme mort.

Savoir que ce qui nous est impénétrable existe cependant, se manifestant comme la plus haute sagesse et la plus radieuse beauté que nos facultés obtuses n'appréhendent que sous une forme extrêmement primitive, cette certitude, ce sentiment est au coeur de tout sens religieux véritable."

    Amen !!! Allons en paix en évitant de pêcher contre l'esprit (ce qui est loin d'être le coin des hypocrites qui se prétendent humanistes)
 Amitiés B.


Donc voici un récapitulatif des œuvres préférées d'ANDREAS RIEU, choisies par lui-même,
 vidéo maison savoisienne: 





samedi 26 mai 2012

SAVOIE, AMOUR, DIEU, VIENNE, ANDRE RIEU, VALSE, JOHAN STAUSS


                   

Le ministère de la Culture, des Arts, Lettres et Musique de la SAVOIE
a l'honneur de vous faire entendre l’œuvre magistrale d'ANDRE RIEU à BRENDEBOURG.




  


                      
                    

jeudi 24 mai 2012

SAVOIE, LES ALLOBROGES, CAVOUR, NAPOLEON III





Pacé è Libertà

Voila un petit compte-rendu d'actions pacifiques qui peuvent changer les

frontières de l'Histoire (notamment celles de la SAVOIE).

Je reviens d'une série de réunion politique législative,organisée par les forces d'occupation de la SAVOIE.

Hier je vous ai expliqué le coup des questions à cent livres savoisiennes avec le chant des Allobroges, aujourd'hui je vous explique l'utilisation de la technique au profit d'une Révolution Pacifique.

Voila l'orateur se met en place et vend ses salades chimiques, quant tout à coup un portable

de l'assemblée présente, sonne.
Ce portable sonne et joue l'hymne national savoisien. Succès garanti, on se lève et l'assemblée entonne d'une même voix  le refrain  des Allobroges.


           



Refrain :


Allobroges vaillants ! Dans vos vertes campagnes,


Accordez-moi toujours asile et sûreté,


Car j'aime à respirer l'air pur de vos montagnes,


Je suis la Liberté ! La Liberté !

L'orateur fait bonne figure et recommence ses salades périmées (il est UMP sarko-con-patible).
Tout à coup un autre portable sonne dans l'assemblée, à l'autre bout: et le refrain des Allobroges à nouveau et rebelote, l'assemblée de savoyards se lève et chante  de bon coeur le refrain.

L'orateur (600m²) craque et demande  que l'on coupe tous les portables.

Un quidam demande :"il faut les circoncire?"
RIRES.

L'orateur rouge de colère reprend ses élucubrations avec force de "heu", heu", heu", quand tout à coup Son portable sonne:

il décroche, penaud et con et une voix sexy lui murmure: "tu vas bien chéri?".

                  

L'assemblée est pliée de rires.10 portables sonnent et jouent les ALLOBROGES.

Le con d'UMP dégage vite fait bien fait.

Voila comment par une chanson historique, on peut pacifiquement supprimer les frontières historiques, crées par les jérusalistes-maçonniques-sataniques, tel CAVOUR et NAPOLEON III.






A demain pour une autre action.......

Un peu d'HISTOIRE:

1
LA VERITABLE HISTOIRE DU CHANT : LES ALLOBROGES
LES A LLOBROGES, ce chant guerrier r cher au coeur de Savoyards a été écrit par Joseph Dessaix, vers 1856,soit quatre ans avant l’anne xion de 1860.
On oublie actuellement que sur cet air, issu de vieux chants populaires savoyards, au moins deux autres versions furent connues et chantées :


La première fut écrite vers la fin des années 1850 par un vicaire de Sciez, Basile Démolis
L’autre, près de 30 ans plus tard en 1878, par la poétesse Chablaisienne Amélie Gex.
Libelle invitant les savoyards aux urnes!!!


3 versions illustrent l’attitude différente des bourgeois intellectuels et du petit peuple
vis-à-vis de l’annexion de la Savoie à la France.


VERSION DE DESSAIX : LA LIBERTÉ
 

Joseph Dessaix (1817-1870 ), est le neveu du célèbre général Joseph-Marie Dessaix, le « Bayard de la Savoie », ce médecin thononais qui fut un pilier de la Révolution française à part ir de 1791.
Joseph, journaliste et homme de lettres, n’alla pas voter en 1860, jugeant le vote inutile car, né d’un père devenu Français en 1892, lorsque la Savoie avait été dannexée par la République Française révolutionnaire, il se considérait comme Français: c’était une argutie, car le pays était à nouveau sarde depuis la chute de Napoléon Ier en 1815.

Joseph Dessaix (1817 – 1870)
Joseph Dessaix était tout d’abord acquis à l’annexion et avait soutenu la réunification de la Savoie, parce que francophone, à la France de la seconde république dont il était un partisan, à voir les dessins satiriques de son journal « Le Chat », en 1848.
La même année, il publia un poème « Aux Savoyards », en faveur de l’union de la Savoie et de la France démocratique. Je reviendrai sur ce poème.
Mais il devint plus tard hostile au régime autocratique de Napoléon III : il le montre déjà à Chambéry, en 1856, en faisant jouer une pièce, « Le Prisonnier de Chillon », associée à un hymne « La Liberté » (futur Allobroges), chanté par une soprano. Cette comédie musicale louait le patriotisme de Bonivard, un Genevois historique, qui dans le cadre de la liberté des peuples à disposer d’eux-mêmes, préfé ra l’a lliance de Genève et de Berne à une union francophone, plus ou moins imposée par le puissant monarque Charles III de Savoie, et ceci, malgré la
communauté linguistique française sur les deux rives du Léman. Dessaix, libéral journaliste chablaisien, différait du point de vue opposé de son oncle le général, qui, après ses derniers combats de 1814 contre les Autrichiens, plaida ardemment en 1815, pour le respect de l’unité linguistique nationale (le français) de part et d’autre du Rhône. 

Il différait même de celui de Victor Hugo, lequel prônait le rattachement de la Belgique Walone à la France… avant d’être banni par Napoléon III. Le journaliste Dessaix , bien que francophone, refusait désormais de considérer la langue (en l’occurrence le Français) comme étant un élément fondamental de l’identité nationale, compte tenu de l’exemple voisin de la Suisse et aussi de son royaume Alpin polyglotte : à Evian, par exemple, on pouvait parler et chanter en Sarde, en Français, en Franco-Provençal et en Suisse Allemand sans perdre son identité. 

La Liberté, c’était en effet aussi cela.
Les paroles des Allobroges sont donc hostiles à la France :
Dans le 3ème couplet, la Liberté promet :
Un mot d’espoir à la belle Italie
Courage à vous, Lombards, je reviendrai !
Tandis que le vers suivant :
Un mot d’amour au peuple de Hongrie
Rappelle implicitement que ce dernier, comme l’Italien, est soumis au diktat autrichien.
3
(Rappelons que si le royaume sarde, essentiellement constitué pat la Savoie, les Alpes, Nice et la région de Turin était indépendant, l’unité de l’Italie et son indépendance vis à vis de l’Autriche n’eurent lieu qu’en 1860 s ous la bannière de Victor-Emmanuel de Savoie).
Dans les ajouts, le 4ème couplet de Dessaix, dédié au chef de la garde d’Annecy, reste clair pour l’appartenance nationale :
Soue les couleurs de la jeune Italie,
Fière avec vous, je combattrai toujours…
Je resterai sous vos nobles drapeaux.
Allobroges vaillants etc.
Et le 5ème couplet « Aux soldats revenant de Crimée » le 26 juin 1856, réitère un patriotisme nullement français, à savoir :
 

Fils du Piémont et de la Ligurie,
Honneur à vous intrépides guerriers.
En revenant saluer la patrie,
Sur mon autel, déposez vos lauriers…
De plus, dans « le prisonnier de Chillon », se greffe une intrigue amoureuse anticléricale : Soeur Blaisine, contrainte d’entrer au couvent sans vocation, retrouve sa liberté pour épouser celui qu’elle a ime ; l’intrigue approuve la politique intérieure du Piémont (sous l’influence de Cavour) sur la nécessité d’une laïcisation avec une proposition de loi sur le mariage civil. On se battra donc dans la salle de théâtre de Chambéry : entre libéraux et conservateurs. Cette atmosphère de lutte politique , outre un coup de patte au régime de napoléon III dont la Liberté est obligée de s’enfuir au pays des Allobroiges, donne aussi le ton quant aux objectifs territoriau x
du Piémont.
Preuve de cette option, moins d’un mois après la création des Allobroges, des Savoyards chantaient leur hymne « à genoux, sur les ponts -frontières de Beauvoisin et de Seyssel. A l’autre bout du pont, Les Français leur
donnaient la réplique en chantant La Marseillaise avec une égale ferveur…
Si Joseph Dessaix n’alla pas voter en 1860, c’est en réalité parce qu’il s’estimait floué des deux côtés : ayant choisi la monarchie constitutionnelle sarde plutôt que le second empire, Dessaix écrivit quelques mois avant le vote une nouvelle pièce qui dénonçait dans un scénario burlesque les visées annexionnistes sur la Savoie, lesquelles se tramaient en catimini entre monarques. Or, début 1860, le ministère sarde fit interdire la pièce, pourtant pro domo pour la maison de Savoie, pièce que l’auteur ne put faire jouer qu’une fois à Genève, mais pas à Evian où elle se situait.
 


Qui a composé la musique des Allobroges ?
 

Les hymnes nationaux cheminent en fonction des problématiques et des luttes du moment. Ce fut les cas des Allobroges comme de la Marseillaise ou de l’Internationale : on connait le parolier mais on oublie volontiers le compositeur, lequel s’est souvent inspiré d’airs populaires écrits en langue vernaculaire, c’est à dire en patois local.
Dessaix connaissait très probablement un air populaire chanté en patois dont s’est inspiré son hymne. Il s’agit du fameux « Panavo », c'est-à-dire : « torchez-vous, barrez-vous », composé contre les Espagnols chassée de Savoie, mais qui reprend un air plus ancien ironisant une dispute conjugale.

En effet, si l’on étudie avec attention son poème proFrançais « Aux Savoyards », publié en 1848, on est frappé par le fait qu’il peut se chanter sur l’air de « La Liberté’ : même prosodie de décasyllabes,, même enchaînement de rimes féminines et masculines. Les 4 syllabes des allobrogiens » sonnent à la même place que les « bons savoisiens » des Allobroges. Les mots France et espérance, sont positionnés aux 5ème et 7ème lignes tant dans le poème que dans le chant…etc.
Il est donc logique de penser que cet air populaire non publié se chantait dans les campagnes avec différentes paroles. Et dans la dernière pièce de Joseph Dessaix, en 1860, cette folie carnavalesque qui plaide contre le mariage bidouillé avec la France, l’air du Panavo revient en patois, pour décrire la visite triomphale du roi sarde à Bonneville!!


Dans « Le prisonnier de Chillon », la partition de « La Liberté » fut donnée sans que l’on en cite le
compositeur. On oublie donc G. Conterno, chef de musique d’un régiment sarde d’Annecy qui, avec le parolier F. Dav id, avait composé un air qui honorait les troupes savoyardes rentrant de Crimée. Connaissant l’honnêteté intellectuelle de Dessaix, il s’agit d’une ignorance de l’oeuvre précédente et non d’une omission volontaire .
Dessaix avait par exemple réhabilité dans une oraison funèbre le botaniste Joseph Bonjour, resté inconnu alors qu’il avait constitué un herbier de plus de 50 000 plantes régionales. Il avait tonné contre le marquis de Chaumont, qui s’était approprié une pièce en vers écrite par un autre auteur.
L’édition parisienne des Allobroges, publiée à la fin du XIXème siècle par Coutarel, donne l’arrangement musical de Victor Gentil, chef de la musique d’Annecy « d’après de vieux airs savoyards ». Elle cite Dessaix comme parolier mais oublie Conterno…
Le referendum a lieu le 22 avril 1860 .. Le 31 ma i 1860, on chante « la Savoie française », composée par Eugène Dessaix, cousin germain de Joseph, qui versifie de ses terres de Féternes en glorifiant Napoléon III. Les Allobroges ne sont plus d’actualité.

VERSION DE DEMOLIS : LES MALHEURS DU PAYSAN
Les Allobroges, cet hymne guerrier, eurent vite une parodie en patois qui chantait une tout autre chanson. Elle n’excita pas les historiens, bien qu’elle explicite le vote du gros de la population en 1860.
Cette version, « les malheurs du paysan », fut attribuée longtemps à Amélie G x, bien que l’historien et ethnologue Vuarnet , dès 1907, l’ait, se basant sur des témoignages nominés, datée d’un peu avant le scrutin de 1860 et ait désigné comme auteur Basile Démolis, vicaire patoisant de Sciez. Dès 1850, celui-ci avait écrit à son xxx local : « Le pays n’est pas le paradis car la misère y règne, comme partout ailleurs ».
La chanson patoise prend le contrepied de l’enthousiasme patriotique des intellectuels : elle décrit en termes nets la grande misère du paysan savoyard à cette époque. Loin de s’enthousiasmer pour l’air pur de ses vertes montagnes, il a faim. En ces années 1850, une petite glaciation a décimé les récoltes. On manque de blé, de pain, de vin, de pommes, de noix. Et la misère est aggravée par les tailles, les cens, le percepteur, les quêtes obligatoires pour les grandes fêtes religieuses, les tarifs prohibitifs des médecins, la rapacité des hommes d’affaires.
Souliers percés, gilet mince face à la grêle, la pluie, le gel, le paysan savoyard se plaint de ne vendre que des cosses de châtaignes dont « on vous pique en plus les sous ».
Une autre chanson de la Combe de Savoie raconte la même misère, elle commence par « mes petits enfants crient la faim » !
Cette détérioration des conditions climatiques est décrite dans de nombreux ouvrages : d’abord par l’historien Leroy-Ladurie dans son livre « Le petit âge glaciaire, un dernier soupir : 1850-1856 ». Selon lui, cette période de 6 ans fut le pic ma ximu m d’une période froide qui avait duré près d’un siècle et été un des facteurs de la révolution française. Jamais, de mémoire de Savoyard, les langues glaciaires n’étaient descendues aussi bas. Le moindre coup de chaud, comme en 1852, y détache d’énormes masses de glace termina le, d’où débordement de l’Arve dont la vallée n’est plus qu’un lac de cluses à Arenthon.
De même pour le lac Léman, dont le niveau dépend des fontes du glacier du Rhône. D’après les relevés du grand limno logue Forel, le niveau d’été fut en baisse continue de 1853 à 1858. Les basses eaux d’h iver permirent d’ailleurs pendant cette période, l’accès des préhistoriens aux cités englouties du néolithique et du bronze final.
Les relevés des températures témoignent également de gelées ma ximum dans toute l’Europe pendant cette période et les étés furent étonnamment pluvieux. Cette petite glaciation a laissé des traces en dendrochronologie, sur les coupes des mélèzes, tandis que les ornithologues constataient autour du Léman un afflux inhabituel d’oiseaux migrateurs venus du Nord…
Un indice également précie x est la date des vendanges, qui furent reculées au mois d’octobre en France d’Oïl pendant toute la décennie .
En conséquence de ces climats froids et pluvieux, des maladies déciment les récoltes de vin et de céréales :
l’oïdiu m pour la vigne, la pourriture des pommes de terres ; même les vers à soie furent décimé, au point qu’il fallut aller en chercher au Japon. (Où en élevait-on, à part à Ferney-Voltaire ?)
Les céréales sont atteintes : en particulier l’ergot de sigle, cause du « mal des ardents », s’ajouta en montagne au rachitis me et à l’état miséreux pour causer le fameux « mal de Morzine ». Un peu partout, des femmes hystériques et convulsives forment des émeutes contre les meuniers…
Le prix du vin comme du pain double entre 1845 et 1860, passant de 0,25 francs à 0,50 car la récolte est faible ;
le conseil municipal de Sciez en 1856 répartit entre les 113 vignerons la quote-part de 480 hl. autorisée sans taxe pour la vente à Genève. Elle d iminue l’année suivante et est de 235 h l. en 1858.

De même des cosses de châtaignes dont parle la chanson. Il faut dire que si le fruit du châtaignier est une des bases de la nourriture paysanne, la « crueze » ou cosse, se vend : plusieurs pécheurs actuels, dont Robert Favre à Sciez, attestent que du temps des filets de lin, leurs aïeux utilisaient la teinture de châtaignes, obtenue à partir des cosses, pour en protéger et teindre les mailles, ce qui les rendait m ins visibles à l’oeil exercé de la truite…
Conséquence de la misère et des eaux souillées, une épidémie de choléra apparaît en 1853 en Savoie à Moutiers, puis en Haute-Savoie à Annecy, puis à Seyssel, aussi bien côté France que côté Savoie.
Les médecins coûtent trop cher : Démolis écrit qu’une indigestion coûte plus qu’une noce. Ils font partie de ces diables qui roulent carrosse. Il est vrai que le médecin de campagne doit se rendre en visite chez les malades, trop pauvres pour avoir, eux, les moyens de se déplacer. On le voit passer, non certes en carrosse, mais avec sa voiture tirée par un cheval qui suscite l’envie… la démographie accuse le coup, les mariages tombent à moins de 7,5% entre 1852 et 1855. A Sciez, la natalité qui progressait de façon constante depuis le moyen -âge, s’inverse à partir de 1848 et la population chute de 1996 habitants au recrutement de 1848 à 1787 habitants d’après celui de 1858. Mme Hermann, dans son live « les enfants du malheur », dénombre 91 enfants
abandonnés en 1813 -1824, contre 1333 en 1849-1860.
Le vicaire de sciez dénonce aussi les abus de la religion :
Il faut donner pour une grande fête, un jour la laine, l’autre jour le mouton….
Il n’est pas le seul : le recteur de Bossey écrit que les exagérations rendent le joug de la religion par trop onéreux et ne sont pas en harmonie avec les dispositions morales et religieuses de l’époque. Le recteur de Chevenoz, à une enquête de l’évêque, répond qu’il est d’usage d’offrir le premie r né des vaches et des chèvres pour les messes célébrées en faveur des âmes du purgatoire…
Les dépenses publiques passent de 75 à 140 millions de 1847 à 1852 sans retombées sur les équipements régionaux. En 1853, un dessin humoristique du journal « le Carillon », de Chambéry résume la situation : sur l’autre côté du Rhône passe un train, sur la voie ferrée Paris - Genève, tandis que La Savoie miséreuse et enclavée, personnalisée par une chaumière , n’est desservie que par un mauvais chemin caillouteux ou passe un berrot chargé d’impôts, tiré non par un cheval ou même un bourricot, mais par le paysan contribuable.
Le p $remier émigrant pour l’Argentine part en 1857 de Bellevau x dont le curé écrit : « il y a grande misère au pays ; il y a peu de viande parce que peu de bétail ».
 

LA VERS ION D’AMELIE GEX : PARCE DOMINE


Les Savoyards devenus Français obtinrent-ils le mieux être qu’ils espéraient ? Ce n’est pas évident.
La situation politique de la décennie: Après la défaite catastrophique de 1870 et la fuite de Napoléon III en Angleterre, après la brève « Commune », Le maréchal Mac Mahon exerce une quasi dictature. Cette période de l’ «ordre moral » permet à la religion de multiplier les édifices religieux (Montmartre, Fourvière ) les processions et les pèlerinages. Mais en 1878, les conseils municipaux viennent d’être remportés en majorité par les élus républicains ce qui donne de l’espoir quant au retour d’une véritable démocratie.
Le paysan est toujours tributaire du temps et des récoltes. Leroy-Ladurie décrit, après une période de réchauffement, un « plongeon thermique » en 1876-78.
Après avoir écrit un « Pitié mon Dieu pour les cerises », la poétesse savoyarde, fille de médecin, décrit encore plus durement que le vicaire de Sciez la réalité paysanne, Dans son PARCE DOMINE, qui sonne comme un glas, elle reprend les textes de Démolis et les renforce :
Dans les vers sur les offrandes à la religion elle dote les moines non pas d’un « besaçon » mais d’un « bidon »
(ce qui rime mieux avec le don du mouton)

Comme l’or et le mot lard se prononce de même façon en patois, elle remplace l’or de la version Démolis en écrivant qu’il faut graisser au lard les créanciers thésauriseurs.
Par contre, elle est moins dure pour les médecins, peut être parce que son père avait la réputation de ne pas faire payer les malades pauvres . Ils ne sont plus des diables qui roulent carrosse, mais Pour avoir des enfants, il faudra rouler carrosse…
Le texte de Démolis est en patois chablaisien, celui de Gex, qui s’est mise à écrire en patois vers 1877, est plutôt inspiré de sa vallée de la Rochette : elle fait rimer « dinse » (dense) avec « ceinse » (fermage) ce qui ne colle pas avec la prononciation chablaisienne.
La fin est aussi différente. Quand pour Démolis , le paysan savoyard ne connaît que la liberté d’être ‘tout panos », c’est à dire lessivé, rincé, panossé… Amélie Ge x écrit que les ruraux, grâce au « pain et à la santé (donnés Par le Seigneur ?) trouveront le punch pour envoyer les affairistes « se gratter là où sont allés les princes (c'est-à-dire peut être en enfer, comme Napoléon III, mort en Angleterre en 1873 et Victor Emmanuel II, mort lui aussi en janvier 1878… )

                              




mercredi 23 mai 2012

SAVOIE, SUISSE, CAVOUR, NAPOLEON III, PIEMONT-SARDAIGNE, NICE,

 

 

1860: une Suisse sans Savoie

Par Philippe Dumartheray. Mis à jour le 22.05.2012
La Confédération, par prudence, ne joue pas toutes ses cartes
et voici de la propagande:
 
 La une du supplément illustré du Petit Journal du 18 septembre 1910 fête, avec faste et allégorie, le cinquantenaire de la réunion de la Savoie à la France.
Image: STEFANO BIANCHETTI/CORBIS



Le bleu Léman, un lac entièrement suisse?

 L’Histoire en a décidé autrement. 
Le 22 et 23 avril 1860, lors d’un plébiscite, savamment orchestré et truqué, les Savoyards acceptent à une écrasante majorité l’adhésion de la Savoie à la France. 

Remontons le cours du temps pour bien comprendre comment la Suisse a finalement perdu toutes ses chances de mettre la main sur une partie de la Savoie. 
 En 1815, la Sardaigne garantit la sécurité de ses Etats du Nord, le Chablais, le Faucigny et le Genevois, en les plaçant sous la protection de la neutralité suisse. Le texte du traité est très clair: pour prévenir une invasion, la Suisse peut occuper ces trois régions. Et, en 1848, le roi de Sardaigne, Victor-Emmanuel II, demande à la Diète suisse de le soutenir contre l’Autriche. Une proposition repoussée par 15 voix contre 7. Au grand dam du conseiller fédéral Henri Druey, qui nourrit encore l’espoir de négocier le rattachement du Chablais et du Faucigny à la Confédération.

Quelques années plus tard, à la fin des années 1850, il apparaît clairement que Napoléon III s’apprête à faire main basse sur la Savoie grâce à un accord avec la maison de Piémont-Sardaigne. A Berne, certains ne l’entendent toutefois pas ainsi. A l’instar de Jakob Stämpfli, membre du Conseil fédéral depuis 1855, qui réussit à créer un véritable mouvement d’opinion pour partir à la conquête de la Savoie. Le Conseil fédéral décide finalement de ne pas bouger sous la pression des Vaudois notamment, qui n’ont pas envie de se lancer dans une opération hasardeuse.

Rencontre secrète à Plombières, dans les Vosges

L’affaire se joue alors rapidement. En juillet 1858, lors d’une rencontre secrète dans la station thermale de Plombières, dans les Vosges, entre le comte de Cavour, représentant du roi de Piémont-Sardaigne, et l’empereur Napoléon III qui avait, un temps, trouvé refuge en Suisse en 1848. La substance de l’accord? Napoléon III promet une aide militaire à Cavour pour chasser les Autrichiens d’Italie. 

En échange, il demande la Savoie et Nice.

La suite sera militaire. Comme promis, en avril 1859, les troupes françaises entrent en Italie, gagnent à Magenta et à Solferino, mais Napoléon III finit par signer un armistice, puis la paix à Villafranca. Ce revirement relancera naturellement la question de l’avenir de Nice et de la Savoie. Napoléon laisse entendre à l’ambassadeur de Suisse à Paris qu’il n’exclut pas une partition du duché. Il n’en faut pas plus pour que, dans le Faucigny, fief de la bourgeoisie libérale, les pro-Suisses se sentent pousser des ailes. Et de lancer une pétition pour le rattachement à la Suisse qui recueille 13 000 signatures.

De leur côté, les Suisses sont divisés. Pour Claude Raffestin, ancien professeur à l’Université de Genève, plusieurs éléments expliquent cette prudence. «Le pays ne voulait pas modifier son assiette territoriale en donnant l’impression qu’il remettait en cause les accords sur sa neutralité. D’autre part, la Savoie est une terre catholique. Cela gênait la Suisse protestante, surtout après la guerre du Sonderbund de 1847.»
Napoléon reprend rapidement l’offensive. En recevant les délégués savoyards, il leur promet l’unité du duché et surtout la création d’une zone franche qui prive les pro-Suisse de leur principal argument. La France peut relancer le royaume de Piémont-Sardaigne et un traité est signé le 24 mars 1860. Il ne reste plus qu’à faire voter les Savoyards pour désamorcer la grogne des puissances qui demandent la tenue d’une conférence internationale. C’est chose faite en Savoie les 22 et 23 avril.

La Suisse a-t-elle finalement perdu la Savoie? 

Pour le professeur Raffestin, «elle a été prudente avec raison. Après la Première Guerre mondiale, une partie du Vorarlberg autrichien aurait souhaité lui être rattachée. Là encore, la sagesse a prévalu. On a vu ce qui s’est passé ensuite avec Hitler.»
Le dossier est-il définitivement clos? Lors d’un sondage réalisé en 2009 par le Dauphiné libéré, 40% des Savoyards montraient une préférence pour l’indépendance de leur région et 14% pour un rattachement à la Suisse. Claude Raffestin préfère en sourire: «C’est plutôt la Savoie qui a perdu la Suisse. Le Pays de Vaud a été lâché par les Savoyards qui s’étaient endettés auprès des Bernois. Le duché avait alors été contraint de céder cette terre aux Confédérés.»
                                                    

dimanche 6 mai 2012

SAVOIE, FABRICE BONNARD, ETAT DE SAVOIE, CNES, MAIRIES, ELECTION, ONU, TRAITE DE TURIN


                        

Conseil National du Nouvel État de Savoie – 305 Avenue du MOREL - 73260 AIGUEBLANCHE (Savoie)
Nouvel État de Savoie
Conseil National
La Présidence
A
Mesdames et Messieurs
les Maires de Savoie
et de Haute Savoie


LETTRE OUVERTE


 

OFFICIELLE- IMPORTANTE – SIGNALÉE
 

OBJET: La SAVOIE / Statut juridique / Droit International / Traité d’annexion abrogé
Nullité juridique absolue des élections françaises
 
Putativité générale des législations françaises
Savoie, le vendredi 4 mai 2012
 

Madame, Monsieur le Maire,
 

Cette première lettre officielle du C.N.E.S. s’adresse personnellement à chacun des Maires des communes françaises sur le territoire de la Savoie historique (départements 73 et 74), rattaché à la France par un Traité international d’annexion signé à TURIN le 24 Mars 1860 (annexe 1).
Ce document et ses annexes ont pour but de vous informer de manière officielle et exhaustive sur les éléments factuels et juridiques qui démontrent tout bonnement l’illégitimité de votre participation personnelle et de celle des employés ou bénévoles de votre commune, à l’organisation du deuxième tour de l’élection présidentielle dimanche prochain, puis ensuite et dans la foulée, des élections législatives françaises.
 

Au moment où la vie politique française est en train de basculer et où les promesses qui n’ont pas pu être tenues hier sont déjà remplacées aujourd’hui par des promesses qui s’avèreront intenables demain, il est temps de réaliser politiquement que le seul véritable avenir radieux ouvert à vos concitoyens, le sera par la Savoie et sa reconnaissance juridique international. Elle est inéluctable.
Vous avez certes, l’obligation légale d’organiser matériellement ces consultations politiques, mais cette obligation juridique n’est qu’apparente et ne saurait violer la constitution française en vigueu . Elle repose sur un code électoral qui lui est soumis. Ces deux textes, pour pouvoir s’appliquer sur les deux départements français 73 & 74 et y produire encore leurs effets contraignants, exigent que la validité du Traité de TURIN soit incontestable (article 55 de la constitution de 1958 – annexe 7). Or tel n’est pas le cas :
Conseil National du Nouvel Etat de Savoie – 305 Avenue du MOREL - 73260 AIGUEBLANCHE (Savoie)
La validité du Traité d’annexion de la Savoie est désormais plus que contestée puisqu’il est démontré à l’inverse que le Traité d’annexion de la Savoie est expressément tenu pour abrogé par un Traité international en vigueur : le Traité de Paix avec l’Italie signé à PARIS le 10 février 1947 par les 21 puissances victorieuses de la seconde guerre mondiale (annexe 2 : article 44 - page 26/512 - extrait).
 

Organiser de manière légitime des élections françaises en Savoie ou en Haute Savoie, n’est plus
juridiquement possible ; cela vous expose même à vous rendre tous et toutes les complices passifs d’une violation du Droit International en vigueur et en l’occurrence du Droit des Peuples et des droits internationaux de l’Homme.
En effet, l’ONU a déjà officiellement reconnu le défaut d’enregistrement du Traité d’annexion de la Savoie (annexe 3).
Une question écrite (n°76121) a été déposée à l’Assemblée Nationale et celle-ci a fait l’objet d’une réponse officielle abstruse du Ministère des Affaires Etrangères et Européennes en date du 15 Juin 2010 (annexes 4);
En toute hypothèse l’enregistrement annoncé et promis à titre officiel « dans les plus brefs délais » il y a plus de 22 mois, est toujours manquant…
Cet enregistrement qui prend cinq minutes est en réalité rendu doublement impossible, en raison :
1°) Spécifique, du défaut avéré de la notification diplomatique préalable exigée par l’article 44§1 du Traité de PARIS de 1947 (susvisé), qui ne peut pas être valablement remplacée par une simple remise en vigueur telle que celle publiée au JO du 14 Décembre 1948 (annexe 5) ;
2°) Générale, de l’article 1er de la Charte de l’ONU (annexe 6) qui proclame le principe général de la souveraineté des Peuples reconnus et surtout des multiples résolutions successives et concordantes prises par l’Assemblée Générale et relatives à la décolonisation obligatoire des Etats préexistants
(annexe 7).
Certes, votre qualité personnelle d’élu(e) local(e) vous impose de manière générale de veiller au respect des règles juridiques en vigueur. Elle vous confère aussi et surtout, le devoir sacré de protéger les droits imprescriptibles de votre localité et de tous ses habitants qu’ils soient autochtones, français ou étrangers.
Le texte du discours de Mr Roland AVRILLON, Porte drapeau tricolore chaque année aux Glières,
prononcé à THONES le 11 novembre 2011 (ci-joint en annexe 8 pour information) devrait vous toucher.
Il convient d’espérer qu’au moins l’un ou l’une d’entre vous, ayant su prendre connaissance avec toute l’attention qu’elle mérite de cette correspondance officielle et de ses preuves, aura à présent le courage élémentaire de se borner à solliciter par écrit des explications juridiques valables, au nom de vos concitoyens et administrés, au Préfet en sa qualité de Représentant local de l’Etat français dont votre commune ne dépend désormais plus qu’en pure théorie.
Il en sera bien incapable, vous verrez.
 

Conseil National du Nouvel Etat de Savoie – 305 Avenue du MOREL - 73260 AIGUEBLANCHE (Savoie)
Pourtant, à défaut pour lui de pouvoir justifier d’une notification diplomatique officielle conforme à
l’article 44§1 du Traité de PARIS (date, n° et identité du diplomate habilité) et surtout de l’enregistrement
à l’ONU conforme à l’article 44§2 et à la promesse gouvernementale de juin 2010, l’ensemble de l’édifice
juridique français se révèle putatif ; le socle de la légitimité de la Préfecture et de tous ses Agents et ses
Cadres, étant brisé (art.44§3).
L'Histoire du Nouvel État de Savoie est incontestablement en marche et rien ne pourra l’arrêter.
La reconnaissance officielle du Nouvel État de Savoie et de sa qualité d’Etat au même titre que Monaco ou la principauté d’Andorre,, est inéluctable en Droit. Vous devez le comprendre et réagir dés à présent de manière honorable et responsable, c’est-à-dire irréprochable.
A compter de ce jour et avec cette missive, tous les élus des deux Savoie disposent chacun(e)s des éléments juridiques propres à leur permettre d’en vérifier la portée et de se faire une opinion éclairée sur leur valeur probante.
Ce jour est donc à marquer d’une pierre blanche et rouge qui rend d’ores et déjà intolérable qu’aucun, ni aucune de ses édiles destinataires, ainsi pourtant, prévenus et détenteurs de toutes les preuves, n’ait le courage de prendre position en faveur de la Vérité, du Droit international en vigueur et de la Liberté d’un Peuple souverain
 

La souveraineté de la Savoie n’a en réalité jamais disparue au plan juridique, car elle n’a été qu’exercéepar la France… par l’effet du Traité international d’annexion de 1860, dont la démonstration de son abrogation pure et simple est faite aujourd’hui.
Dans l’attente de lire en réponse chacune de vos réactions personnelles ou officielles et vous précisant être naturellement à votre entière disposition pour tout renseignement complémentaire que vous estimeriez encore utile de devoir recueillir ;; Nous vous prions de recevoir, Madame ou Monsieur le Maire, l’expression de notre très profonde
considération.
 

La Présidence du Conseil
 

PJ : 8
Annexe 1 : Traité d’annexion de la Savoie signé à TURIN le 24 mars 1860 (version originale) ;
Annexe 2 : Traité de paix de PARIS du 10 février 1947 (version complète) ;
Annexe 3 : Attestation officielle de l’ONU reconnaissant le défaut d’enregistrement ;
Annexes 4 : Question écrite du député NICOLIN au Ministère des Affaires Étrangères, sa réponse ;
ambiguë du 10 juin 2010 et son analyse critique en 15 points ;
Annexe 5 : JO du 14 Décembre 1948 mentionnant une simple remise en vigueur et non une notification ;
Annexe 6 : Charte de l’ONU (extrait) ;
Annexe 7 : Constitution de la Vème République (extraits : art.5 & art.55) ;
Annexe 8 : Discours de Monsieur AVRILLON (Porte drapeau français aux Glières) du 11/11/2011



                                       

RICHARD WAGNER, CREPUSCULE DES DIEUX, SIEGFRIED, SAVOIE

            

Le ministère de la Culture, des Arts, Lettres et Musique de la SAVOIE
a l'honneur de vous faire entendre l'oeuvre magistrale de RICHARD WAGNER, le CRÉPUSCULE DES DIEUX!

clic sur l'image:
                         
Pourquoi?

Pour fêter le départ de l'ELYSEE, de l'usurpateur, NICOLAS SARKÖSY de NAGY-BOCSA, jérusaliste, massacreur du peuple Libyen et colonisateur de la SAVOIE.

Entendez cette vidéo maison, crée pour la circonstance, mettez le son à fond, car WAGNER s'écoute magistralement!

     VIVE LE ROY

VIVE LA SAVOIE






                                  

vendredi 4 mai 2012

SAVOIE, GENEVE, SAVOIE INDEPENDANTE, SAVOIE-VALDO-GENEVOISE




L’ÉTAT SOUVERAIN de SAVOIE quitte petit à petit la France putative et colonisatrice:


La région savoyo-valdo-genevoise s'appelle désormais «Grand Genève »

Les habitants ont participé à une consultation publique pour donner leur préférence.




La décision vient de tomber!

 On appellera désormais la région Savoie-valdo-genevoise « Grand-Genève ». Le comité de pilotage du projet d'agglo s'est prononcé aujourd'hui jeudi.

Les 915'000 habitants étaient invités à choisir un nom de baptême pour cette entité territoriale. Pendant un peu plus d'un mois, ils ont pu se prononcer via un sondage sur le web.

Savoie Indépendante a participé  a cette campagne électorale, en force!!!


 Objectif: choisir entre Le Genevois - GenevAgglo - Grand Genève. Il ne s'agissait là d'une consultation publique!!!

  VIVE LE ROY

VIVE LA SAVOIE 


                                       

jeudi 3 mai 2012

RICHARD WAGNER, PERSIFAL, SAVOIE, BAYREUTH, GRAAL,



L’ÉTAT de SAVOIE par l'intermédiaire de son ministère de la CULTURE , des ARTS ,LETTRES et MUSIQUE continue à vous faire plaisir avec les grands auteurs .


Aujourd'hui nous aborderons RICHARD WAGNER, un monument, en plusieurs fois, ouf!!!


Le ministère vous propose PARSIFAL:clic sur l'affiche,ele est d'origine du 22 juillet 1882!!




Parsifal est un « festival scénique sacré » (en allemand : Bühnenweihfestspiel, selon l'appellation de Wagner) en trois actes de Richard Wagner créé le 26 juillet 1882 lors du second festival de Bayreuth. Il se fonde sur l'épopée médiévale Parzival de Wolfram von Eschenbach et sur Perceval ou le Conte du Graal de Chrétien de Troyes.

clic sur le tableau: