Chez moi, à CHAMPAGNY LE HAUT, en Tarentaise, en Savoie Souveraine

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mardi 5 janvier 2016

SAVOIE, ONU, SAVOIE INDEPENDANTE, FREDERIC BERGER

                  LA SAVOIE ET L'ONU

Chères Compatriotes, chers Compatriotes, chères Amies et chers Amis, voici 2 textes qui méritent vote attention, l'un de RUDOLF STEINER de 1923 et l'autre à l'ONU le 24 novembre 2015.

1er texte:



Les parisiards et franchouillards sans identités jalousent les hommes libres car ils vous renvoient votre soumissions d’esclaves fainéants en putréfaction en pleine face.
 Les savoisiens n’ont jamais été français, ni de près ni de loin. C’est un fait historique. Nous sommes juste asservie par le régime français soutenus par ses hordes de zombies, les français modernes, la honte des peuples européens. 
Haha il suffit juste d’écouter votre président pour être mort de rire. Vous êtes des ignares, touts à moitiés analphabètes. Totalement ignorant de l’histoire de votre propre pays et bien sure encore pire pour se qui est question du reste du monde. Votre dégueulasserie n’a d’égal que votre arrogance.

Votre France elle est MORTE, morte et enterrée, y a même plus de vrais français en France. Qui est 100% français en France ?
 Qui ?
 Personne.
 Et vous voudriez qu’ont se face emporter dans la tombe avec vous, vous ce peuple qui a commis tout les forfaits ? Que la France finisse de sombrer, c’est sa destinée, il n’en restera rien. Et cette foie ci il n’y aura pas de terre hospitalière pour sauver vos culs, ont ne donnera plus d’asile à des hommes qui ont entraîné toute l’Europe dans la tourmente.
 Vous méritez votre sort, et les abysses qui sont en train de s’ouvrir sous vos pieds sont un châtiment divin ! Bonne annihilation, c’est que le début…
« L’effroyable brutalité culturelle de la transplantation des nègres vers l’Europe constitue un épouvantable forfait de la part des français envers les autres peuples européens dont les conséquences seront encore plus terribles pour la France elle-même.
 Cela se répercutera de manière incroyablement forte sur le sang et la race. Cela va précipiter la décadence française jusque dans son essence.
 Le peuple français s’en trouvera refoulé. »
Rudolf Steiner – 1923
2ème texte:
Lors du 8ème Forum sur les minorités organisé par l’O.N.U. au sein de leur bâtiment à Genève, nous avons pris la parole le premier jour (24 novembre 2015) pour dénoncer les agissements du pays dacoté envers notre peuple.

Monsieur le Président, Mesdames et messieurs,
Nous souhaitons tous d’abord remercier tous les membres de l’ONU ainsi que de l’UNPO pour la possibilité que vous nous accordez de prendre la parole.

Si nous nous trouvons aujourd’hui au sein de cette assemblée c’est pour informer la communauté internationale de l’acharnement de l’État Français à vouloir supprimer les droits inaliénables de la minorité Savoisienne. Par son origine et son histoire propre, le peuple de Savoie n’a jamais cessé d’exister. Il entre donc de ce fait, dans le cadre du droit des minorités, instauré et défendu par l’ONU.

La déclaration des droits des personnes appartenant à des minorités nationales, ethniques, religieuses ou linguistiques est donc pour nous une évidence, car la Savoie entre pleinement dans cette définition. Elle nous permet d’œuvrer à la défense des droits dont nous demandons le rétablissement, mais pour lesquelles les autorités Française refusent d’entrer en matière.
Pourtant, l’article 1er nous paraît le plus fondamental car il dispose que « Les Etats protègent l’existence nationale, ethnique, culturelle, religieuse ou linguistique des minorités, sur leurs territoires respectifs, et favorisent l’instauration des conditions propres à promouvoir cette identité.»
  Malgré toute la force que la déclaration attache à cette disposition, l’État Français ne cesse d’en enfreindre le principe nous laissant victimes de ces manquements répétés.
Trop souvent les membres de notre communauté sont accablés au moyen du droit français qui, en plus de régir indûment notre minorité, s’appliquent en violation de ses propres règles et procédures. 

Le fait qu’objectivement les règles édictées par le législateur Français s’attaquent et demeurent hostiles à nos actions légitimes et légales atteste du peu de cas réservé au respect de nos droits.
L’article 2.4 de la déclaration établit que « Les personnes appartenant à des minorités ont le droit de créer et gérer leurs propres associations. » 
Nous avons créé la Direction aux Affaires Savoisiennes (DAS) en 2014. Cette association, loi 1901, a pour objet la « promotion et défense des intérêts de la Savoie … »
L’association a été reconnue par l’autorité française qui lui a concédé son droit d’activité en homologuant ses statuts le 31 août 2014, date de la parution au Journal Officiel de la République Française. Au demeurant, notre association n’a jamais outrepasser les droits tel que définit par la présente déclaration et nous avons pu ainsi développer la connaissance et la reconnaissance d’un peuple de Savoie.

En dépit de cela le Préfet de Haute-Savoie, autorité sous tutelle du Premier Ministre Français nous a assigné en justice le 25 septembre 2014. Il attaque notre Association au motif que ses statuts seraient contraire au principe constitutionnel d’indivisibilité de la République, et à l’intangibilité des frontières au regard du droit international. La constitution Française, en l’état actuel, interdit en effet la reconnaissance du peuple de Savoie.
  L’État Français utilise tout son arsenal législatif pour exiger la dissolution de notre association formée par et pour les savoisiens afin de les représenter. Cela constitue bien, par la France, une violation de l’article 2.4 de la déclaration des droit des personnes appartenant à des minorités. Le droit de créer et gérer nos propres associations nous est donc contesté et il nous sera possiblement retiré.
Avec la dissolution en droit français de la DAS, nous craignons que les autorités françaises, par crainte de voir notre reconnaissance progresser dans les instances internationales, adoptent prochainement des mesures coercitives encore plus importantes comme par exemple une police plus vigilante à l’égard des droits que nous exerçons.
 Cet acharnement injustifiable, bien que n’étant pas sans précédents s’agissant notamment d’emprisonnements prononcés pour des motifs et des infractions bien souvent mineures ( non-conformité réglementaires de plaques d’immatriculation), ne cesse de causer du tort à nos membres, nos proches, et à notre communauté.
Combien de temps devrons-nous subir le joug de l’État Français, avant que chaque acteur du droit reconnaisse notre existence et notre personnalité juridique ?


Entendez:



 Et lisez,merci, en cliquant dessus:
                           
 Frédéric BERGER

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