NEW YORK (Nations unies), 17 mai 2013
- L'Assemblée générale de l'ONU a adopté vendredi une résolution qui place la Polynésie française sur la liste des territoires à décoloniser, malgré la défaite des indépendantistes aux élections territoriales début mai et les pressions de Paris.
La résolution, présentée par plusieurs petits Etats du Pacifique (îles Salomon, Nauru, Tuvalu, Samoa) ainsi que par le Timor oriental, a été adoptée par consensus.
La France, qui s'oppose à cette démarche, n'a pas participé à la séance et a immédiatement dénoncé "une ingérence flagrante" et "une absence complète de respect pour les choix démocratiques des Polynésiens".
La résolution "affirme le droit inaliénable de la population de la Polynésie française à l'autodétermination et à l'indépendance", conformément à la Charte de l'ONU (article 73 sur les territoires non autonomes). Elle invite le gouvernement français à "faciliter et accélérer la mise en place d'un processus équitable et effectif d'autodétermination" en Polynésie.
Cette résolution a une portée largement symbolique. Elle ouvre en principe la voie à un référendum d'autodétermination par lequel la population polynésienne pourrait à terme se prononcer en faveur de l'indépendance, de la départementalisation ou d'un statut intermédiaire d'autodétermination. Mais en pratique, plusieurs des gouvernements qui ont des territoires sur la liste ne respectent pas ces règles.
A la suite du vote, plusieurs pays (dont Royaume-Uni, Allemagne, Pays-Bas, Etats-Unis) se sont "démarqués du consensus" pour marquer leur désapprobation, faisant valoir la défaite des indépendantistes aux élections territoriales.
Pour l'ambassadeur des Iles Salomon Collin Beck, en revanche, ces élections "ne peuvent pas être assimilées à un référendum" sur le sort du territoire.
La France avait décidé de boycotter l'examen de la résolution, affirmant que "le droit à l'autodétermination ne peut s'exercer contre la volonté des populations concernées".
Les élus autonomistes de l'Assemblée territoriale avaient formulé jeudi le "voeu" que la Polynésie ne soit pas inscrite sur la liste de l'ONU.
Pour l'instant, la Polynésie française est une collectivité dotée d'une très large autonomie, mais la France conserve ses compétences régaliennes, telles que la sécurité publique ou les relations internationales.
Le président polynésien sortant, l'indépendantiste Oscar Temaru, qui a perdu les élections au profit de son rival de toujours, l'autonomiste Gaston Flosse, se démenait depuis plusieurs mois pour que la collectivité d'outre-mer soit réinscrite sur la liste de l'ONU. M. Temaru était présent à New York pour le vote.
Ironie de l'Histoire, les Nations unies ont adopté cette résolution quelques heures seulement avant que M. Temaru ne perde son poste de président, au profit de M. Flosse qui devait être élu ce vendredi à Papeete.
Le gouvernement français avait réussi à retarder ce vote à l'ONU pendant près de deux mois, jusqu'aux élections du 5 mai, où le Tahoeraa Huiraatira de M. Flosse a largement devancé, avec 45% des suffrages, l'UPLD d'Oscar Temaru (29,26%).
Mais les promoteurs de la résolution ont refusé de retirer leur texte malgré les pressions de Paris et une ultime démarche de M. Flosse.
Celui-ci avait demandé mercredi au président de l'Assemblée générale Vuk Jeremic de repousser le vote, en s'appuyant sur le verdict des urnes. Il faisait valoir que trois électeurs polynésiens sur quatre avaient manifesté leur rejet de cette résolution.
La Nouvelle-Calédonie figurait déjà sur la liste de l'ONU. La France soumet régulièrement des rapports à l'ONU sur l'application des accords de Matignon et de Nouméa sur l'autonomie de ce territoire.
La liste de l'ONU comprend désormais 17 territoires, dépendant pour la plupart du Royaume-Uni (Gibraltar, Malouines, Iles Caïmans, Saint-Hélène) ou des Etats-Unis (Iles Vierges, Guam, Samoa américaines).
- L'Assemblée générale de l'ONU a adopté vendredi une résolution qui place la Polynésie française sur la liste des territoires à décoloniser, malgré la défaite des indépendantistes aux élections territoriales début mai et les pressions de Paris.
La résolution, présentée par plusieurs petits Etats du Pacifique (îles Salomon, Nauru, Tuvalu, Samoa) ainsi que par le Timor oriental, a été adoptée par consensus.
La France, qui s'oppose à cette démarche, n'a pas participé à la séance et a immédiatement dénoncé "une ingérence flagrante" et "une absence complète de respect pour les choix démocratiques des Polynésiens".
La résolution "affirme le droit inaliénable de la population de la Polynésie française à l'autodétermination et à l'indépendance", conformément à la Charte de l'ONU (article 73 sur les territoires non autonomes). Elle invite le gouvernement français à "faciliter et accélérer la mise en place d'un processus équitable et effectif d'autodétermination" en Polynésie.
Cette résolution a une portée largement symbolique. Elle ouvre en principe la voie à un référendum d'autodétermination par lequel la population polynésienne pourrait à terme se prononcer en faveur de l'indépendance, de la départementalisation ou d'un statut intermédiaire d'autodétermination. Mais en pratique, plusieurs des gouvernements qui ont des territoires sur la liste ne respectent pas ces règles.
A la suite du vote, plusieurs pays (dont Royaume-Uni, Allemagne, Pays-Bas, Etats-Unis) se sont "démarqués du consensus" pour marquer leur désapprobation, faisant valoir la défaite des indépendantistes aux élections territoriales.
Pour l'ambassadeur des Iles Salomon Collin Beck, en revanche, ces élections "ne peuvent pas être assimilées à un référendum" sur le sort du territoire.
La France avait décidé de boycotter l'examen de la résolution, affirmant que "le droit à l'autodétermination ne peut s'exercer contre la volonté des populations concernées".
Les élus autonomistes de l'Assemblée territoriale avaient formulé jeudi le "voeu" que la Polynésie ne soit pas inscrite sur la liste de l'ONU.
Pour l'instant, la Polynésie française est une collectivité dotée d'une très large autonomie, mais la France conserve ses compétences régaliennes, telles que la sécurité publique ou les relations internationales.
Le président polynésien sortant, l'indépendantiste Oscar Temaru, qui a perdu les élections au profit de son rival de toujours, l'autonomiste Gaston Flosse, se démenait depuis plusieurs mois pour que la collectivité d'outre-mer soit réinscrite sur la liste de l'ONU. M. Temaru était présent à New York pour le vote.
Ironie de l'Histoire, les Nations unies ont adopté cette résolution quelques heures seulement avant que M. Temaru ne perde son poste de président, au profit de M. Flosse qui devait être élu ce vendredi à Papeete.
Le gouvernement français avait réussi à retarder ce vote à l'ONU pendant près de deux mois, jusqu'aux élections du 5 mai, où le Tahoeraa Huiraatira de M. Flosse a largement devancé, avec 45% des suffrages, l'UPLD d'Oscar Temaru (29,26%).
Mais les promoteurs de la résolution ont refusé de retirer leur texte malgré les pressions de Paris et une ultime démarche de M. Flosse.
Celui-ci avait demandé mercredi au président de l'Assemblée générale Vuk Jeremic de repousser le vote, en s'appuyant sur le verdict des urnes. Il faisait valoir que trois électeurs polynésiens sur quatre avaient manifesté leur rejet de cette résolution.
La Nouvelle-Calédonie figurait déjà sur la liste de l'ONU. La France soumet régulièrement des rapports à l'ONU sur l'application des accords de Matignon et de Nouméa sur l'autonomie de ce territoire.
La liste de l'ONU comprend désormais 17 territoires, dépendant pour la plupart du Royaume-Uni (Gibraltar, Malouines, Iles Caïmans, Saint-Hélène) ou des Etats-Unis (Iles Vierges, Guam, Samoa américaines).
‘Ua ha’amana te tä’atira’a o te mau hau ‘ämui i te anira’a a Oscar Temaru
Te i ni’a atura o Pörïnetia Faräni i te täpura o te mau fenua ti’amä. ‘Ua mana i te reira parau i roto i te rurura’a rahi a te tä’atira’a o te mau hau ‘ämui ; i teie iho mahana. Mai te peu ‘aita te täpura ‘ämui i manuia i teie mä’itira’a fa’a’äpïra’a i te mau mero i te Fare ‘Äpo’ora’a Rahi nö Pörïnetia nei, ‘ua fa’ati’a hia ra i tä rätou anira’a i New York, noa atu ä te mana’o päto’i i fa’atae hia e te hau Faräni.
I te pae’au o te mau fenua mai iä Töromona ma, Naurua,Tuvalu ‘e Hämoa, te i ni’a at’oa rätou i taua täpura ra. ‘Ua ha’amana hia ra i te reira nä roto i te hö’ë mana’o fa’aaura’a. ‘Aita te hau Faräni, o te päto’i nei i teie fa’anahora’a, i ö atu i roto i te mä’itira’a.’Ua fa’a’ite ‘oi’oi ‘ra oia i tö na mana’o hepohepo nö te fa’atura ‘orera’a hia i te reo manahune o te nüna’a nö te fenua nei.
Te nä’o ra te ‘ïrava 73 o te Ture Niuhia i ha’amana hia e te ta’atira’a o te mau Hau ‘Ämui, « e ti’ara’a mana tö te nüna’a mä’ohi ‘eita e ti’a ia hö i te iho mä’itira’a, ‘e tö na ti’amära’a ». Te ‘ume nei i teie ‘ïrava i tö hau nei, ‘ia fa’a’öhie hia ‘e ’ia fa’anaho ‘oi’oi ato’a hia i te tahi ravera’a ‘eitueä nö te vaiho i te nüna’a Pörïnetia e fa’a’oti i tö na parau.
‘Ua riro teie fä’otira’a ‘ei hi’ora’a taipë. I teienei, e noa’a hia ia fa’atupu i te tahi anira’a mana i te nüna’a ‘eäha mau ä o tä na e hïna’aro nö tö na ‘ananähi. I reira te mau tumu parau nö te ti’amära’a, te ha’amata’eina’ara’a, a ore ra i te tahi atu huru papa ture ta’a ‘ë, e nehenehe e vauvau roa hia atu ai. Terä ra ; te vai ra te tahi mau fa’atereraa hau fenua o te ‘ore e fa’ature nei i teie mau ture.
I muri noa mai i te mä’itira’a, rave rahi mau fenua (mai iä Peretäne, Purutia, Horani, Fenua Märite) o te i ‘ore i tu’ati i taua ravera’a ra. ‘Aita rätou i ‘ämui atu, ma te fa’a’ite ‘ua tahua te püpü nïnamu..
Nö te ti’a o te mau fenua Toromona, o Collin Beck, « ‘Aita e nehenehe e ‘äno’i i teie fä’otira’a, i tö te parau nö te tïtaura’a manahune » i ni’a i ‘ananähi o teie fenua.
‘Ua ‘öpua a’e na te hau Faräni i te päto’i i te hi’opo’ara’a o teie tumu parau. Nö na, " ‘eita e nehenehe e fa’ahepo i te parau nö te ti’ara’a mana tö te nüna’a mä’ohi ‘eita e ti’a ia hö. "
Nö te mau ti’a o te mau püpü ‘ötönömï i Taraho’i a’e ra, ‘ua uhe rätou ‘eiäha o Pörïnetia e täpa’o hia i ni’a i taua täpura ra.
I teie mahana, te i raro a’e noa o Pörïnetia Faräni i te mau arata’ira’a a te papa ture ‘ötönömï, o te hor’oa nei i te mana iä te hau fenua i roto i te tahi mau fä’otira’a. Te täpe’a noa nei ä te hau nui i tä na mau tuha’a, mai te parau änei nö te pärurura’a i te huira’atira, a ore ra te mau ‘ohipa nä te ara.
I te taime a mä’iti hia ai i teie fä’otira’a na te Tä’atira’a o te mau hau ‘ämui, te i New York o Oscar Temaru i te ti’ara’a.
A tau matahiti tö Oscar Temaru i te rohi noara’a nö te ha’amanuia i teie ‘öpuara’a tä na. I muri noa i te mä’itira’a o te i fa’a ‘ere iä na i te ti’ara’a peretiteni nö te hau fenua, ‘aita atu e fërurira’a ta’a ‘ë, maoti ra ‘ia tupu mau ihoa i te reira. ‘Ua tupu ra h’oi i te reira tau hora noa hou Oscar Temaru a ‘ere ai i tö na ti’ara’a pereteiteni o te hau fenua.
‘Ua ra’e hia iä te hau farani i te täpe’a i te mä’itira’a tae roa atu i te 5 nö më, i te piti o te hätuara’a nö teie ïa mä’itira’a i mähemo a’e nei, i färiu mai i te mau nümerara’a höpe’a roa : 45 i ni’a i te hanere o te mau reo mä’iti, i mua noa iä Oscar Temaru o te i ha’apu’e 29,26 i ni’a i te hanere o te mau reo
‘Aita ra i te reira i fa’ari’i noa hia a’e, noa atu ä te mau fa’anahora’a i rave hia e tö Tahiti nei ‘e i Faräni. ‘Ua tupu ra h’oi i te reira tau hora noa hou Oscar Temaru a ‘ere ai i tö na ti’ara’a pereteiteni o te hau fenua.
Nö te mau ti’a o te mau püpü ‘ötönömï i Taraho’i a’e ra, ‘ua uhe rätou ‘eiäha o Pörïnetia e täpa’o hia i ni’a i taua täpura ra.I te pö nä mua a’e, ‘ua fa’atae o Gaston Flosse täne i te hö’ë rata i te peretiteni o te ‘äpo’ora’a nö te Hau ‘Ämui, nö te ani ‘ia türa’i hia te mä’itira’a, ma te fa’ahiti i te mau nümera i noa’a mai i roto i te mä’itira’a i mä’iri. ‘Ua fa’a’ite ‘oia i te mea ë, te rahira’a o te nüna’a o te i ha’afaufa’a ‘ore i te anira’a a Oscar Temaru.
Te i ni’a a’e na o te fenua Taratoni i taua täpura ra a te Tä’atira’a o te mau hau ‘Ämui. E fa’atae pinepine noa nei te hau Faräni i te mau fä’otira’a o te i rave hia na i te pae o te mau parau fa’aau nö Matignon räua Noumea, i ni’a te parau o te fa’aterera’a o teie nei fenua.
E 17 atu ra mau fenua ‘aihu’a ra’au o te i pa’o hia i ni’a i taua täpura ra, te rahira’a ra te i raro a’e noa i te fa’aterera’a a te hau Peretane (Gibraltar, Malouines, Caïmans, Saint-Hélène) a ore ra a te fenua Märite (Te mau motu Vierges, Guam, Hämoa).
I te pae’au o te mau fenua mai iä Töromona ma, Naurua,Tuvalu ‘e Hämoa, te i ni’a at’oa rätou i taua täpura ra. ‘Ua ha’amana hia ra i te reira nä roto i te hö’ë mana’o fa’aaura’a. ‘Aita te hau Faräni, o te päto’i nei i teie fa’anahora’a, i ö atu i roto i te mä’itira’a.’Ua fa’a’ite ‘oi’oi ‘ra oia i tö na mana’o hepohepo nö te fa’atura ‘orera’a hia i te reo manahune o te nüna’a nö te fenua nei.
Te nä’o ra te ‘ïrava 73 o te Ture Niuhia i ha’amana hia e te ta’atira’a o te mau Hau ‘Ämui, « e ti’ara’a mana tö te nüna’a mä’ohi ‘eita e ti’a ia hö i te iho mä’itira’a, ‘e tö na ti’amära’a ». Te ‘ume nei i teie ‘ïrava i tö hau nei, ‘ia fa’a’öhie hia ‘e ’ia fa’anaho ‘oi’oi ato’a hia i te tahi ravera’a ‘eitueä nö te vaiho i te nüna’a Pörïnetia e fa’a’oti i tö na parau.
‘Ua riro teie fä’otira’a ‘ei hi’ora’a taipë. I teienei, e noa’a hia ia fa’atupu i te tahi anira’a mana i te nüna’a ‘eäha mau ä o tä na e hïna’aro nö tö na ‘ananähi. I reira te mau tumu parau nö te ti’amära’a, te ha’amata’eina’ara’a, a ore ra i te tahi atu huru papa ture ta’a ‘ë, e nehenehe e vauvau roa hia atu ai. Terä ra ; te vai ra te tahi mau fa’atereraa hau fenua o te ‘ore e fa’ature nei i teie mau ture.
I muri noa mai i te mä’itira’a, rave rahi mau fenua (mai iä Peretäne, Purutia, Horani, Fenua Märite) o te i ‘ore i tu’ati i taua ravera’a ra. ‘Aita rätou i ‘ämui atu, ma te fa’a’ite ‘ua tahua te püpü nïnamu..
Nö te ti’a o te mau fenua Toromona, o Collin Beck, « ‘Aita e nehenehe e ‘äno’i i teie fä’otira’a, i tö te parau nö te tïtaura’a manahune » i ni’a i ‘ananähi o teie fenua.
‘Ua ‘öpua a’e na te hau Faräni i te päto’i i te hi’opo’ara’a o teie tumu parau. Nö na, " ‘eita e nehenehe e fa’ahepo i te parau nö te ti’ara’a mana tö te nüna’a mä’ohi ‘eita e ti’a ia hö. "
Nö te mau ti’a o te mau püpü ‘ötönömï i Taraho’i a’e ra, ‘ua uhe rätou ‘eiäha o Pörïnetia e täpa’o hia i ni’a i taua täpura ra.
I teie mahana, te i raro a’e noa o Pörïnetia Faräni i te mau arata’ira’a a te papa ture ‘ötönömï, o te hor’oa nei i te mana iä te hau fenua i roto i te tahi mau fä’otira’a. Te täpe’a noa nei ä te hau nui i tä na mau tuha’a, mai te parau änei nö te pärurura’a i te huira’atira, a ore ra te mau ‘ohipa nä te ara.
I te taime a mä’iti hia ai i teie fä’otira’a na te Tä’atira’a o te mau hau ‘ämui, te i New York o Oscar Temaru i te ti’ara’a.
A tau matahiti tö Oscar Temaru i te rohi noara’a nö te ha’amanuia i teie ‘öpuara’a tä na. I muri noa i te mä’itira’a o te i fa’a ‘ere iä na i te ti’ara’a peretiteni nö te hau fenua, ‘aita atu e fërurira’a ta’a ‘ë, maoti ra ‘ia tupu mau ihoa i te reira. ‘Ua tupu ra h’oi i te reira tau hora noa hou Oscar Temaru a ‘ere ai i tö na ti’ara’a pereteiteni o te hau fenua.
‘Ua ra’e hia iä te hau farani i te täpe’a i te mä’itira’a tae roa atu i te 5 nö më, i te piti o te hätuara’a nö teie ïa mä’itira’a i mähemo a’e nei, i färiu mai i te mau nümerara’a höpe’a roa : 45 i ni’a i te hanere o te mau reo mä’iti, i mua noa iä Oscar Temaru o te i ha’apu’e 29,26 i ni’a i te hanere o te mau reo
‘Aita ra i te reira i fa’ari’i noa hia a’e, noa atu ä te mau fa’anahora’a i rave hia e tö Tahiti nei ‘e i Faräni. ‘Ua tupu ra h’oi i te reira tau hora noa hou Oscar Temaru a ‘ere ai i tö na ti’ara’a pereteiteni o te hau fenua.
Nö te mau ti’a o te mau püpü ‘ötönömï i Taraho’i a’e ra, ‘ua uhe rätou ‘eiäha o Pörïnetia e täpa’o hia i ni’a i taua täpura ra.I te pö nä mua a’e, ‘ua fa’atae o Gaston Flosse täne i te hö’ë rata i te peretiteni o te ‘äpo’ora’a nö te Hau ‘Ämui, nö te ani ‘ia türa’i hia te mä’itira’a, ma te fa’ahiti i te mau nümera i noa’a mai i roto i te mä’itira’a i mä’iri. ‘Ua fa’a’ite ‘oia i te mea ë, te rahira’a o te nüna’a o te i ha’afaufa’a ‘ore i te anira’a a Oscar Temaru.
Te i ni’a a’e na o te fenua Taratoni i taua täpura ra a te Tä’atira’a o te mau hau ‘Ämui. E fa’atae pinepine noa nei te hau Faräni i te mau fä’otira’a o te i rave hia na i te pae o te mau parau fa’aau nö Matignon räua Noumea, i ni’a te parau o te fa’aterera’a o teie nei fenua.
E 17 atu ra mau fenua ‘aihu’a ra’au o te i pa’o hia i ni’a i taua täpura ra, te rahira’a ra te i raro a’e noa i te fa’aterera’a a te hau Peretane (Gibraltar, Malouines, Caïmans, Saint-Hélène) a ore ra a te fenua Märite (Te mau motu Vierges, Guam, Hämoa).
Commentaires:
Posté par Le président de "la Polynésie française", des françaises et des français René, Georges, HOFFER le 17/05/2013 07:26 |
rollstahiti@gmail.com
et
Posté par Le président de "la Polynésie française", des françaises et des français René, Georges, HOFFER le 18/05/2013 04:21
Cochon qui s'en dédit... ou con-sensus?
Pardi voilà les Etablissements français de l'Océanie devenus Etablissements ex-français de l'O.N.Usie.... hahahahaha
rollstahiti@gmail.com
Cochon qui s'en dédit... ou con-sensus?
Pardi voilà les Etablissements français de l'Océanie devenus Etablissements ex-français de l'O.N.Usie.... hahahahaha
rollstahiti@gmail.com
et
Frédéric BERGER
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire