Un énorme scandale de réseau pédophile dans un centre pour enfants.
L'ÉCHO DES MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer,a toujours combattu la pédocriminalité.
Jean-Marc Borello est délégué national de Macron.
Cet homme dirigeant une association de 10.000 salariés appelée “Groupe SOS” et fait figure de caution sociale de “en Marche”.
L’ancien gérant de la fameuse boite de nuit “Le Palace” a été condamné à 6 mois de prison avec sursis pour avoir laisser faire un trafic d’ectasy dans les établissements dont il était responsable.
Pourtant il serait le plus influent des 9 délégués de Macron et est même décrit comme le vrai patron.
Il
est mêlé de près à l’affaire Megel, énorme scandale de réseau pédophile
d’élite qui avait lieu au sein même du centre pour enfants “Les
Tournelles” pendant plus de 20 ans et dont il était administrateur.
On ne manquera pas de remarquer le soutien à Macron de personnalités bien connues comme Daniel Cohn-Bendit, Pierre Bergé, etc.
Borello, le pilier de la campagne de Macron, condamné à de la prison à sursis.
Surnommé « le vrai patron de Macron » (le Point),
Jean-Marc Borello, 59 ans, le plus influent des neuf délégués nationaux
d’En marche!, a été condamné, avec plusieurs de ses associés, à six
mois de prison avec sursis le 16 septembre 1999 par la cour d’appel de
Paris.
Motif, selon les attendus du jugement que Valeurs actuelles s’est procuré : avoir «
facilité l’usage illicite de stupéfiants, en laissant se dérouler et
prospérer dans les établissements dont ils avaient la responsabilité […] un trafic de stupéfiants constitué par une revente et une consommation visibles et notoires d’ecstasy [une drogue dure
et la suite en pédocriminalité:
Réseau Mégel
Un réseau pédophile au foyer pour enfants des Tournelles
On
va revenir sur une affaire de réseau pédophile d’élite, passée fort
discrètement il y a quelques années bien qu’elle révèle d’intéressantes
connexions.
En 2002, Robert Mégel est condamné pour pédophilie dans le centre pour jeunes délinquants qu’il dirigeait.
Un
centre des Tournelles soit-disant expérimental, exemplaire, géré par du
beau monde qui n’a « rien vu, rien entendu » pendant des années.
Le drame se déroule à Meaux, la ville de Jean-François Copé, est en Seine-et-Marne.
C’est là qu’on a aussi plusieurs assos absolument véreuses, comme Olga Spitzer, qui agit dans l’illégalité la plus complète mais a ses entrées dans les tribunaux.
On a aussi les Tournelles,
un centre pour mineurs difficiles qui réhabilitait les enfants et
jeunes délinquants (de 7 à 18 ans) grâce au luxe et à une pseudo « thérapie du merveilleux ».
Il se trouvait juste à côté de Levallois-Péret (la ville de Balkany).
Ledit centre était dirigé depuis 1978 par Robert Mégel, qui a été condamné en 2004 à 11 ans de prison pour viols et attouchements sur mineur [1].
Mégel était un haut fonctionnaire du ministère de la justice, détaché de la Protection judiciaire de la Jeunesse.
Payé grassement par les contribuables, donc, pour gérer ce centre.
L’affaire a démarré après qu’un employé de la protection de l’enfance du Conseil Général de Seine-et-Marne, alerté par des rumeurs d’abus sexuels aux Tournelles, Pascal Viret,
est invité à organiser une réunion dans l’établissement pour les 50
pensionnaires, au sujet de la prévention de la maltraitance.
Quand soudain, Mégel lance
« Il faut que vous sachiez que quoi qu’il ait pu se passer entre vous et les gens qui s’occupent de vous, la relation qui existe est indestructible »[2].
A cette époque, le centre faisait figure de référence et se vantait d’avoir le soutien de Françoise Dolto, dont il disait appliquer les méthodes.
Cela n’est guère étonnant, quand on sait qu’elle a signé une des pétitions parues dans les années 70 pour soutenir le lobby pédophile.
Apparemment, quand les magistrats ont décidé de relancer l’internat des Tournelles en 1978, ils ont fait appel à Dolto qui aurait formé l’équipe d’encadrement, et qui y tenait des conférences à l’occasion.
En 1993, un article dithyrambique de L’Express nous expliquait que
« Ici, les enfants sont guidés, écoutés, mais surtout respectés.Et ça marche ».
Mais, il a été défendu par tout son staff et par les administrateurs des Tournelles qui pourtant, sont censés protéger les enfants et pas les pédocriminels.
Tous ces braves gens ont dit que les victimes étaient des menteurs (NDLR: comme dans énormément de procès, comme pour Outreau et tant d’autres ), c’est si facile.
Parmi les soutiens de Mégel,
il y avait une clique variée : un Haut fonctionnaire de Bercy, des
journalistes, une scientifique de l’Institut Pasteur, des gérants de
boîtes de nuit, des magistrats…
Par exemple, Geneviève Moll, rédactrice en chef à France 2 et membre du CA [3] des Tournelles, a carrément balancé à la victime :
« T’es qui, toi ?Tu devrais avoir honte, petit merdeux… ».
D’après certaines écoutes, c’est grâce à Moll que la presse n’a rien dit ou presque sur cette affaire.
L’avocat parisien Michel Peisse et le conseiller d’État Philippe Sauzay étaient aussi des membres du CA des Tournelles.
En outre, Megel était défendu par le président de la ligue des droits de l’homme, et star du barreau, Me Henri Leclerc.
Au nombre des défenseurs qui se sont mobilisés pour Mégel, il y avait aussi Jean-Marc Borello, ancien administrateur des Tournelles devenu délégué général du groupe SOS Drogue International, qui a dit à l’audience que les faits reprochés étaient « matériellement impossibles ».
Borello est
aussi un ancien éducateur de jeunes délinquants, qui a eu de belles
promotions puisqu’il a été conseiller ministériel [12]puis gérant des
grosses boîtes de nuit parisiennes Le Palace et Regine’s, mais aussi du resto Ledoyen où Mégel emmenait ses proies.
On peut aussi noter que Borello a obtenu la Légion d’honneur en 2000 et qu’il a créé le groupe SOS (11.000 salariés) en « appliquant au secteur social les recettes du privé ».
Ledit « groupe SOS », nous explique le magazine Capital,
« chapeaute une trentaine d’associations intervenant dans l’accueil de toxicomanes, de SDF, de jeunes en difficulté et dans la gestion de crèches et de maisons de retraite»,mais il regroupe également « une dizaine d’entreprises privées comme Altermundi, l’enseigne de distribution de produits équitables, L’Usine, un espace événementiel situé face au Stade de France et employant des personnes en réinsertion, ou encore La Manufacture durable, le numéro 2 des cabinets de conseil en développement durable, avec plus de 100 collaborateurs ».
En 2012, Borello était même devenu conseiller de diverses multinationales comme Danone.
Ledit Borello a expliqué au procès que c’est lui qui a « convaincu des ministres d’aider les Tournelles » et a affirmé y avoir emmené Danielle Mitterrand, la tante du ministre pédophile Frédéric Mitterrand.
Raissa Gorbatechev y serait également allée…
Que faisaient ces gens dans un centre pour jeunes difficiles ?
Le même genre de virées que celles de la clique pédophile anglaise dans l’orphelinat de Jersey ?
Au procès, Borello a dit que toutes ces accusations n’étaient qu’un complot qui avait« développé un insupportable climat d’homophobie »…
Pourtant, Borello était bien présent aux partouzes de Mégel, qui recrutait essentiellement du personnel homosexuel ou bi aux Tournelles :
« Je me rappelle Borello (NDLR: membre du conseil d’administration, patron de boîte de nuit et grand ami de Robert Mégel) la première fois que je l’ai rencontré chez Mégel, il m’a déboutonné trois boutons de chemise “pour voir ce qu’il y avait dessous’’ »,
a ainsi expliqué un éducateur du centre.
Philippe Sauzay, conseiller d’État honoraire, ancien préfet, ex chef du cabinet de Giscard et ancien membre du conseil d’administration des Tournelles, mais surtout ami de Mégel depuis 1973, a bien sur pris la défense de Mégel.
A partir de 1973 d’ailleurs, la carrière de Mégel connait une ascension fulgurante.
Dont le sommet fut la création des Tournelles,
où le tiers du conseil était composé de magistrats (pourtant jamais
interrogés dans l’enquête) et avait « le soutien de personnalités ».
On se demande pourquoi un tel engouement.
D’après le journal La Vie (18 janvier 1998),
« en 1974, sur proposition de Philippe Sauzay (alors chef de cabinet présidentiel de Giscard d’Estaing, aujourd’hui conseiller d’État), l’ancien instituteur a été chargé de mission au cabinet d’Hélène Dorlhac, secrétaire d’État à la Condition pénitentiaire.Au conseil d’administration des Tournelles, il s’est bien entouré : outre Philippe Sauzay, plusieurs magistrats, des avocats, un ancien président de la cour d’appel de Paris, un ex-procureur de la République, un vice-président du tribunal de grande instance de Paris ou encore une ancienne directrice de l’École polytechnique féminine ».
Parmi tous ces gens, aucun n’aurait jamais eu le moindre soupçon sur Mégel ? Difficile à croire.
Parmi les soutiens de Mégel, il y avait aussi Françoise Gaspard, ex-maire de Dreux de 1977 à 1983, puis députée de l’Eure-et-Loire.
De fait, Mégel avait beaucoup d’amis bien placés, et aussi beaucoup d‘amants, souvent mariés et restés au placard.
De hauts fonctionnaires, des magistrats aussi, qui ont permis son ascension sociale : à 25 ans, Mégel était
« contrôleur des centres en charge des mineurs pour la direction de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) ».
Ce sont probablement ces belles relations qui ont permis à Mégel de passer à travers les mailles du filet quand, dans les années 70, la mère d’un adolescent avait signalé à la Brigade de Protection des Mineurs qu’elle avait surpris Mégel au lit avec son fils de 13 ans.
Le garçon, suivi dans un centre médico psychologique où officiait Mégel, était revenu d’un séjour en Espagne avec la syphilis [4].
Mégel avait
d’abord dit qu’il ne s’agissait que d’une infection intestinale, avant
de déclarer que l’enfant avait été violé par des Marocains.
En 1997, quand une victime a parlé, Mégel s’est
lamenté sur son triste sort, l’a convoquée en tête-à-tête dans son
bureau, puis lui a fait dire devant tout le monde qu’il ne s’était
jamais rien passé.
Ce qui, manifestement, a satisfait l’audience.
Et tout le monde s’est mis d’arrache-pied à travailler à la défense de Mégel :
on rédige des dossiers présentant Jérôme comme un menteur pathologique (certains sont même antidatés) ;
on atteste qu’aucun jeune ne pouvait se retrouver seul le soir au domicile de Robert Mégel, même s’il se faisait porter des plateaux-repas par des jeunes qu’il sélectionnait lui-même ;
personne ne proteste quand il détruit les cahiers retraçant les allées et venues des enfants, le soir [5].
Quand le ministère de la Justice retire l’agrément à l’association de Mégel qui gérait les Tournelles pour le refiler à une autre asso à cause de l’affaire des viols, Mégel introduit un recours devant le tribunal administratif.
En outre, Mégel s’est barré avec la trésorerie de l’asso, soit 2,7 millions de francs [6].
Le psychiatre membre du conseil d’administration des Tournelles Jean Tremsal, en profite pour décrédibiliser la victime qui selon lui a un « profil de délinquant ».
Accessoirement,
c’est justement pour cette raison qu’on envoie des jeunes dans les
centres pour jeunes difficile, et le rôle des adultes n’est pas de les
violer mais de les aider autant que possible.
Peut-être que Tremsal a été aussi gentil avec Mégel parce que ce dernier lui proposait de faire du business ensemble dans l’immobilier ?
Précisons que Tremsal exerce toujours à Meaux, ce qui ne semble déranger personne [7].
Etienne Madranges est l’un des magistrats membres du conseil d’administration des Tournelles.
Lors d’écoutes réalisées pendant l’enquête, il a parlé de la rémunération de Mégel, des
« soirées à l’Élysée Matignon où le whisky coulait à flots »,
de personnes qui complotaient pour mettre la main sur les Tournelles.
On ne parle pas ici d’une start-up innovante ou d’une multinationale, mais d’une association a priori sans but lucratif.
Pourquoi donc ces manœuvres afin de récupérer ce centre pour jeunes difficiles.
A qui s’adressait Madranges ?
A Colette Kreder, ancienne directrice de l’École polytechnique féminine, et administratrice aux Tournelles, qui se moquait bien elle aussi de la victime et ne pensait qu’à sauver les Tournelles.
Aujourd’hui, Madranges nous gratifie de ses chroniques dans Le Figaro.
En 2003, au moment du procès, Madranges,
« jusqu’alors magistrat au parquet général de la cour d’appel de Paris, rejoint le cabinet de Jean-Louis Borloo au ministère délégué à la Ville.Nommé conseiller auprès du Ministre, et venant ainsi compléter le cabinet, il aura en charge notamment les problématiques jeunesse »,
nous disait alors le site du ministère de la Ville [8] .
Pas
de chance, s’il n’y avait qu’une seule partie civile grâce à la
prescription, en réalité beaucoup de victimes sont venues décrire à la
barre les mêmes faits de viols et agressions sexuelles.
D’anciens pensionnaires d’un établissement où Mégel était passé avant, l’institut médico psychologique de Dammartin-sur-Tigeaux, sont également venus témoigner.
Certains
ont décrit ses virées dans les boites parisiennes avec des adolescents
du centre, d’autres ont parlé des recrues non qualifiées de Mégel, ou de ses relations avec d’anciens pensionnaires devenus adultes.
C’est aussi là qu’on a appris l’organisation par Mégel de virées dans des hôtels de luxe au Maroc, ou même aux États-Unis.
Un soir, il a fait décoller des enfants d’Orly pour les emmener manger à Cannes.
Dans un reportage diffusé par 7 sur 7 (émission de Anne Sinclair), on voyait les pensionnaires discuter avec Badinter.
Ils ont aussi été sur le plateau du célèbre pédophile Michel Polac, en compagnie de Depardieu, dont les débuts de carrière sont des plus obscurs, et Renaud.
Comment était financé ce centre pour parvenir à envoyer les jeunes au Maroc (où des viols ont eu lieu), en Tunisie,au Canada, aux USA [9] ou dans les restos chics de Cannes (comme le Carlton) et de Paris ?
« Outre les allocations de la Caisse d’assurance maladie, l’institut récolte aussi les dons de généreux mécènes, dont le legs d’une vieille dame fortunée, et les cadeaux en nature (champagne, caviar) de sociétés privées.Certaines participent d’ailleurs au financement du nouveau pensionnat, inauguré en 1995 »,
nous explique le site de l’association Morkhoven (Association du grand Marcel Vervloesem NDLR).
Dans ce nouveau pensionnat, « chacune des 26 chambres a été décorée par les soins d’une ambassade ».
Mais on rêve : que viennent faire les ambassades dans la décoration d’un pensionnat pour jeunes difficiles ?
A ce stade, précisons qu’en Angleterre,
un des sports nationaux était pour le MI5 ou le MI6 de coincer des
personnalités, souvent étrangères, lors de partouzes organisées dans
divers orphelinats ou dans des villas, mais avec des enfants pris dans
des orphelinats.
Il n’y a qu’un pas à faire pour envisager le même type de processus avec les Tournelles.
Finalement, Mégel a pris 11 ans, puis 12 ans en appel.
On notera que des plaintes avaient été déposées contre Mégel dès 1994 et que l’affaire a débuté suite à une lettre anonyme du père d’une victime de Mégel, qui a écrit en 1997 à Xavier Emmanuelli, alors secrétaire d’État à l’Action humanitaire.
Aujourd’hui,
toutes les familles savent qu’une telle lettre est directement renvoyée
au parquet, au nom de la fameuse « séparation des pouvoirs » qui n’est
qu’un mythe.
La victime principale de l’accusation a porté plainte à 17 ans, la même année.
Et dès les années 80, les psychiatres de la région disaient que les Tournelles était un établissement dangereux, dans lequel il ne fallait pas envoyer les enfants.
En outre, Mégel n’a fait que 5 jours de préventive.
« Robert Mégel a été relâché après cinq jours de détention, par décision du président de la chambre d’accusation, en vertu d’une mesure très rare : le référé-liberté », a précisé le journal La Vie,« Autre – étrange – rareté : le contrôle judiciaire n’est pas laissé à la disposition du juge, comme le veut la coutume, mais à la chambre d’accusation.“Il a été réduit à sa plus simple expression, note un policier.Mégel n’a même pas besoin d’aller pointer chez les gendarmes !”Les policiers qui ont, semble-t-il, eu quelque mal à démarrer l’enquête, font d’étonnants constats : l’expert informaticien de la DRPJ a ainsi découvert qu’un psychiatre des Tournelles n’a pas hésité à signer de faux documents ».
Divers
documents concernant les nombreux protagonistes de l’affaire ont
également disparu, comme ce fut le cas, par exemple, pour le dossier
personnel de Mégel au
ministère de la Justice, qui est son employeur, ou l’original du
dossier de la victime, qui a disparu avant d’être remplacé par un faux
rapport antidaté par Tremsal.
Quant à la presse, qui a relaté le scandale même a minima, elle a été systématiquement poursuivie, et intimidée par Mégel et ses amis.
Mégel avait déjà bénéficié de l’ultra laxisme judiciaire en faveur des pédophiles : cité parmi 340 personnalités dans le dossier Coral qui a été étouffé, Mégel était déjà passé entre les mailles du filet.
Si filet il y a eu dans cette affaire…
Bref, je suppose que si Mégel a fini par tomber, c’est qu’il dérangeait quelqu’un.
Avait-il des dossiers sur certaines personnes ?
Etait-il devenu trop voyant ?
Ou est-ce que les détournements de fonds qu’on lui a reprochés en ont dérangé certains ?
On ne le saura sans doute jamais, quoique…
En tout cas, quand on voit les manœuvres et pressions diverses qui n’ont cessé dans ce dossier, on comprend que Mégel n’était certainement pas le seul à être mouillé jusqu’au cou dans cette affaire.
C’est l’ancien adjoint de Mégel qui a repris Les Tournelles.
Bien sûr, lui non plus n’avait rien vu, rien entendu.
Brisons l’omerta sur ces réseaux pédophiles qui ont le pouvoir.
On lâche rien.
L’équipe Wanted Pedo.
[1] Au
départ, ce centre était un institut médico psychologique dans lequel
des enfants au crane rasé étaient installés dans les sous-sols.
[2] Pascal Viret a subi de grosses pressions suite à son intervention dans ce dossier :
« Par ailleurs, le responsable de la Protection de l’enfance en Seine-et-Marne, Pascal Vivet, qui a exprimé ses soupçons sur Robert Mégel, a craint pour son emploi.Et indique ne plus compter les menaces téléphoniques », cf. La Vie.
En fait, Vivet a été viré suite à cette affaire, et les menaces qu’il a reçues étaient carrément des menaces de mort.
[3] Conseil d’Administration.
[4] A
l’arrivée de la gauche au pouvoir, en 1981, on lui propose d’intégrer
la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la
toxicomanie, où il est vite remarqué par Gaston Defferre, alors ministre
de l’Intérieur, qui en fait son conseiller technique sur le sujet.
Gaston
Defferre, maire de Marseille où la French connection battait son
plein et ami du mafieux Mémé Guérini, sait certainement de quoi il parle
en matière de drogues.
Nick Venturi, un des gros bras de Defferre, était aussi un des piliers de la french Connection.
Enfin,
je ne vais pas m’étaler sur ce très riche sujet, j’y reviendrai sûrement un jour dans ma saga de la société Ricard et de Charles Pasqua.
[5] La
mère avait ensuite surpris Mégel dans le lit de son fils et avait porté
plainte, mais Mégel a été blanchi, notamment parce que sa victime n’a
pas osé parler aux flics.
[6] Étrangement, des photocopies de ces cahiers ont été envoyée anonymement au juge par la suite.
Avec toutes les données ou pas ? Mystère.
[7] En octobre 1998, selon le Point,
Frédéric Berger von Götz von Berlichingen« le parquet de Meaux a ouvert une enquête préliminaire pour abus de biens sociaux, abus de crédit et abus de pouvoir.La section financière du SRPJ de Versailles s’intéresse au patrimoine de l’Association des Tournelles, estimé à près de 80 millions de francs ».
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